NicOx : Garufi ... e la Rivoluzione Pharma

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NICOX : la « biotech » de la semaine ?
2009-02-03 | Actualités sociétés
A3Gadvise

A l’instar de Transgène la semaine dernière, NICOX pourrait bien être la star du secteur cette semaine. Elle en a les moyens, et les perspectives sont alléchantes. Dans un contexte de marché global qui tourne en rond, la valeur s’offre un petit rallye, en progression de plus de 6% depuis ce lundi, et affiche quatre séances consécutives de hausse. Au dessus des 8.80 euros, la configuration technique s’améliore, avec les 10 euros en ligne de mire. En dehors de cet aspect constatable à l’œil nu, des risques d’OPA, et de la bonne avancée des négociations partenariales, le cours du titre reste attractif et conserve un fort potentiel de progression. Sur les 15 euros dans un premier temps. Ça ramasse, plus que ça ne cède….
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Publié le 03/02/2009 à 09:27 Reuters

Sanofi vers des acquisitions ciblées de taille moyenne
Imprimez Réagissez Classez Confronté à des pertes de brevets, Sanofi-Aventis devra s'engager dans des acquisitions en 2009 pour redynamiser sa croissance, estiment des analystes qui parient sur des opérations ciblées de taille moyenne.

Les effets d'une telle démarche seraient, selon eux, plus rapidement visibles que ceux de la réorganisation de la recherche où de la rationalisation des sites de production, deux missions figurant dans la feuille de route officielle de Chris Viehbacher, le nouveau directeur général du laboratoire.

Nommé en décembre sous la pression des grands actionnaires de Sanofi que sont Total et L'Oréal, ce transfuge du britannique GlaxoSmithKline pourrait accentuer un mouvement de croissance externe engagé avec le rachat du fabricant britannique de vaccins Acambis et du spécialiste tchèque des médicaments génériques Zentiva.

Viehbacher l'a dit vendredi aux 100.000 salariés de l'entreprise en leur déclarant que Sanofi "devait grandir" en se servant de sa trésorerie de quatre milliards d'euros par an. Il devrait préciser ses projets le 11 février devant la communauté financière.

"Chris Viehbacher a pour stratégie de redéployer l'activité du groupe vers les segments de croissance et les points forts de Sanofi sont les vaccins, les pays émergents et les produits de santé à la limite de la pharmacie. Cela se fera en partie par acquisition", déclare Philippe Lanone, de Natixis.

Il pense que "Sanofi devrait réaliser une ou plusieurs acquisitions ciblées de taille moyenne afin de redynamiser la croissance de son top line (chiffre d'affaires), en augmentant ainsi la part des segments de croissance dans le total du groupe".

Même son de cloche chez Raymond James Euro Equities, où Eric Le Berrigaud voit bien Sanofi s'engager "dans des acquisitions ciblées mais pas dans des méga-fusions à la Wyeth", le groupe que Pfizer vient de racheter pour un montant annoncé de 68 milliards de dollars (53 milliards d'euros).

CRUCELL DANS LE COLLIMATEUR ?

Le spécialiste hollandais des vaccins Crucell, délaissé par Wyeth, avec lequel il avait prévu de se marier, est désormais considéré par certains analystes comme une proie possible pour Sanofi-Aventis.

Déjà partenaire de Crucell, "Sanofi, serait un acquéreur naturel de la société d'autant que tout le monde cherche à grossir dans les vaccins, où peu de cibles sont disponibles", déclare ainsi Eric Le Berrigaud.

Sous couvert d'anonymat, un autre analyste pense que "Chris Viehbacher va faire chez Sanofi ce qu'il a fait chez GSK : acheter des petites et moyennes sociétés de biotechnologie".

Selon lui, "le champ des possibles est immense : sociétés cotées ou non de 10 millions à cinq milliards d'euros. Viehbacher a son carnet d'adresses de biotechs et peut tirer des filets rapidement. Les banques devraient le suivre facilement".

Vendredi, Chris Viehbacher a dit réfléchir à la façon de diversifier le groupe dans les médicaments sans ordonnance (OTC), les vaccins et d'autres produits de santé. Il a aussi évoqué des rachats de technologie, un renforcement dans l'oncologie, des projets dans les nanotechnologies et un développement dans la biotechnologie. .

Mais certains analystes pensent que Sanofi devra faire le tri au sein de son portefeuille. "Rien ne les oblige à être à la fois dans la dépression, l'anxiété, la sclérose en plaque, la schizophrénie, les troubles du sommeil, l'Alzheimer, l'epilepsie...", juge l'un d'eux.

Dans ce contexte analystes et syndicats pensent que le nombre des sites de production risque de diminuer, ce qui entraînerait des suppressions d'emplois.

VERS UNE BAISSE DES EFFECTIFS EN FRANCE ?

"L'exercice des réductions de coûts n'est pas dans l'agenda officiel mais Sanofi va l'accentuer. Chris Viebacher ne le dira pas mais il le fera dès qu'il aura renouvelé le management du groupe. Il n'a pas le choix", estime un analyste.

Thierry Bodin, délégué syndical CGT, ne se fait pas d'illusion sur la stratégie que pourrait initier celui que certains surnomment déjà le "smiling killer", le tueur souriant.

"Toutes les activités risquent d'être touchées, de la recherche à la promotion. Cela peut prendre différentes formes: soit des ventes de sites, soit des plans de suppressions d'emplois, soit des fermetures de sites", déclare-t-il.

Il craint que les choix du groupe "de promouvoir davantage les produits à forte marge comme l'OTC, les génériques, les diagnostics ou les compléments alimentaires" aboutissent "à une diminution de la recherche interne au profit d'opportunités externes et conduisent à un déplacement de la production dans des pays à moindre coûts".

Si Viehbacher réussit son examen de passage du 11 février devant les analystes, cela pourrait doper un titre qui souffre d'une décote de près de 20% par rapport au secteur. L'an dernier, l'action Sanofi a chuté de 28% alors que l'indice européen des pharmaceutiques perdait 19%.

Edité par Marc Angrand
 
treno nitrico

attenzione ! Attenzione!
treno nitrico in partenza sul primo binario,
salire in carrozza, ultimi posti!!!!
 
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