Analisi Intermarket ....quelli che.... Investire&tradare - Cap. 1

Stato
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***Germania: -0,7% prezzi all'import agosto, +6,6% annuo (RCO)
(Il Sole 24 Ore Radiocor) - Milano, 28 set - I prezzi
all'import in Germania hanno mostrato una flessione dello
0,7% ad agosto, calo maggiore delle attese degli economisti,
che si aspettavano un -0,4%. Su base annua i prezzi sono
cresciuti del 6,6% dal precedente +7,5%, in linea alle
stime.
liz

(RADIOCOR) 28-09-11 08:10:39 (0030) 3 NNNN
 
Le plan secret allemand pour sauver la Grèce

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Copyright Reuters

Comment résorber le surendettement grec, relancer l'économie du pays et ruiner les spéculateurs ? Réponse dans le plan Eureca concocté par d'influents consultants allemands.
Existe-t-il une alternative crédible aux plans étudiés actuellement concernant le sauvetage de la Grèce, qui résoudrait la question du surendettement sans provoquer de défaut, et qui sortirait durablement le pays de la spirale de la récession et du désordre social ?
Équation difficile à résoudre et que n'intègrent pas les plans en cours de discussion aujourd'hui. Ce plan existe. Baptisé « Eureca », il a été mis au point par des consultants très influents auprès du gouvernement d'Angela Merkel, pilotés par Martin Wittig, CEO du groupe Roland Berger. Il se décline en six phases essentielles, que l'on peut résumer ainsi :
?1. La Grèce cantonne l'ensemble de ses actifs publics (banques, immobilier, téléphonie, ports...) dans une structure commune, sorte d'équivalent de la Treuhandanstalt créée en 1990 en Allemagne pour privatiser quelque 8.500 entreprises est-allemandes, Ces actifs sont évalués à 125 milliards d'euros, en fonction des valorisations déjà connues sur un certain nombre de biens figurant dans la liste de privatisations « officielle ».
?2. Cette structure est achetée par une institution européenne, financée par les États, dont le siège pourrait être situé au Luxembourg, proche de celui du Fonds européen de stabilisation financière. Cette structure est chargée de piloter la privatisation de ces actifs, avec une échéance fixée à 2025 pour déboucler les opérations (ce qui est beaucoup plus long que la durée de vie de la Treuhand, fermée en 1994, même si un certain nombre d'opérations se sont finalisées au cours des années 2000).
?3. Les 125 milliards d'euros ainsi libérés servent à la Grèce pour racheter ses obligations à la BCE et au FESF, ce qui a pour effet immédiat de ramener à 88 % son ratio dette/PIB, au lieu de 145 % aujourd'hui. L'exposition de la BCE à la dette grecque est réduite à zéro, ce qui ne peut qu'exercer un effet apaisant sur les contribuables européens... Les taux d'intérêt sur la dette grecque baissent de 50 %, ce qui permet à Athènes de revenir éventuellement sur les marchés.
?4. Cette institution européenne investit 20 milliards d'euros dans la restructuration des actifs cantonnés afin d'augmenter leur valeur d'environ 50 milliards d'euros. Le montant de ces investissements peut être augmenté de 10 à 15 milliards provenant des fonds structurels européens que la Grèce ne peut pas utiliser en ce moment. Cette injection d'argent dans l'économie, équivalant à 8 % du PIB, desserre l'étau autour de l'économie grecque, et remet le pays sur la voie de la croissance, environ 5 % par an au cours des trois ou quatre prochaines années, au lieu des 5 % de récession qu'elle affronte aujourd'hui. Avec l'augmentation des recettes fiscales ainsi générée, la Grèce s'engage dans un programme de rachat de sa dette de l'ordre de 1 % du PIB par an, ce qui la fait repasser, en 2018, sous la barre des 60 % du PIB.
?5. Les opérations de privatisation sont débouclées en 2025. Si ces opérations dégagent une plus-value, elle est versée à la Grèce, déduction faite des intérêts et frais de gestion. Si elles dégagent une moins-value, la Grèce la prend en charge, mais les économistes de Roland Berger ont calculé que, même si aucune privatisation n'était réalisée (ce qui est une hypothèse extrêmement peu probable), la dette de la Grèce redescendra mécaniquement sous les 70 % du PIB, ce qui est une amélioration notable par rapport à la situation d'aujourd'hui.
?6. Ce plan réduit à néant les gains des spéculateurs qui ne croient pas au sauvetage de la Grèce ou de la zone euro et qui parient sur un effondrement du cours des obligations grecques, mais aussi espagnoles, italiennes et irlandaises et qui devront assumer une baisse des spreads sur les CDS.
Opposition des banques
Quelles sont les chances de ce programme d'être adopté par la Grèce et les gouvernements européens, qui travaillent sur d'autres pistes ? Il repose en grande partie sur un pari : celui de rassembler l'essentiel des actifs publics grecs, soit une liste bien plus large que celle que la Grèce a rendue publique dans le cadre du plan de privatisation de 50 milliards d'euros figurant dans l'accord du 21 juillet. Il porte la conviction que les opérations de privatisation ainsi centralisées hors de Grèce (même si les capitaux grecs se voient accorder une priorité dans les opérations de cession) échapperont au risque de corruption et d'opacité.
Ce plan a d'autres mérites : il propose une voie nouvelle alors que l'Europe tourne en rond depuis le mois de juillet sur le sauvetage de la Grèce ; il évite à Athènes une cure d'austérité des plus graves et donne le temps de mettre en oeuvre les réformes structurelles que le gouvernement s'est engagé à réaliser ; il crée de la croissance immédiate et permet à la Grèce d'entrer à nouveau sur le marché ; il éloigne la perspective d'une crise systémique de l'Europe et il discrédite les spéculateurs. « Notre plan de redressement poursuit un objectif clair: aider financièrement la Grèce à restructurer son bilan et à générer une croissance pérenne », explique Martin Wittig, CEO de Roland Berger.
Même si ce plan est « porté » par un groupe de consultants, il est très probable qu'il n'a pas été conçu en dehors de l'entourage d'Angela Merkel et des experts de la Troïka. Roland Berger est par ailleurs un bon connaisseur du sujet des privatisations puisque c'était déjà ce groupe qui était à la manoeuvre dans la conduite des opérations de la Treuhand... Il lui faudra néanmoins compter avec l'opposition des banques et des marchés financiers, les premières parce qu'elles ont probablement leur idée sur la privatisation des actifs grecs, les seconds parce que la situation d'incertitude actuelle permet des jeux multiples et rémunérateurs
 
Le plan secret allemand pour sauver la Grèce

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Comment résorber le surendettement grec, relancer l'économie du pays et ruiner les spéculateurs ? Réponse dans le plan Eureca concocté par d'influents consultants allemands.
Existe-t-il une alternative crédible aux plans étudiés actuellement concernant le sauvetage de la Grèce, qui résoudrait la question du surendettement sans provoquer de défaut, et qui sortirait durablement le pays de la spirale de la récession et du désordre social ?
Équation difficile à résoudre et que n'intègrent pas les plans en cours de discussion aujourd'hui. Ce plan existe. Baptisé « Eureca », il a été mis au point par des consultants très influents auprès du gouvernement d'Angela Merkel, pilotés par Martin Wittig, CEO du groupe Roland Berger. Il se décline en six phases essentielles, que l'on peut résumer ainsi :
?1. La Grèce cantonne l'ensemble de ses actifs publics (banques, immobilier, téléphonie, ports...) dans une structure commune, sorte d'équivalent de la Treuhandanstalt créée en 1990 en Allemagne pour privatiser quelque 8.500 entreprises est-allemandes, Ces actifs sont évalués à 125 milliards d'euros, en fonction des valorisations déjà connues sur un certain nombre de biens figurant dans la liste de privatisations « officielle ».
?2. Cette structure est achetée par une institution européenne, financée par les États, dont le siège pourrait être situé au Luxembourg, proche de celui du Fonds européen de stabilisation financière. Cette structure est chargée de piloter la privatisation de ces actifs, avec une échéance fixée à 2025 pour déboucler les opérations (ce qui est beaucoup plus long que la durée de vie de la Treuhand, fermée en 1994, même si un certain nombre d'opérations se sont finalisées au cours des années 2000).
?3. Les 125 milliards d'euros ainsi libérés servent à la Grèce pour racheter ses obligations à la BCE et au FESF, ce qui a pour effet immédiat de ramener à 88 % son ratio dette/PIB, au lieu de 145 % aujourd'hui. L'exposition de la BCE à la dette grecque est réduite à zéro, ce qui ne peut qu'exercer un effet apaisant sur les contribuables européens... Les taux d'intérêt sur la dette grecque baissent de 50 %, ce qui permet à Athènes de revenir éventuellement sur les marchés.
?4. Cette institution européenne investit 20 milliards d'euros dans la restructuration des actifs cantonnés afin d'augmenter leur valeur d'environ 50 milliards d'euros. Le montant de ces investissements peut être augmenté de 10 à 15 milliards provenant des fonds structurels européens que la Grèce ne peut pas utiliser en ce moment. Cette injection d'argent dans l'économie, équivalant à 8 % du PIB, desserre l'étau autour de l'économie grecque, et remet le pays sur la voie de la croissance, environ 5 % par an au cours des trois ou quatre prochaines années, au lieu des 5 % de récession qu'elle affronte aujourd'hui. Avec l'augmentation des recettes fiscales ainsi générée, la Grèce s'engage dans un programme de rachat de sa dette de l'ordre de 1 % du PIB par an, ce qui la fait repasser, en 2018, sous la barre des 60 % du PIB.
?5. Les opérations de privatisation sont débouclées en 2025. Si ces opérations dégagent une plus-value, elle est versée à la Grèce, déduction faite des intérêts et frais de gestion. Si elles dégagent une moins-value, la Grèce la prend en charge, mais les économistes de Roland Berger ont calculé que, même si aucune privatisation n'était réalisée (ce qui est une hypothèse extrêmement peu probable), la dette de la Grèce redescendra mécaniquement sous les 70 % du PIB, ce qui est une amélioration notable par rapport à la situation d'aujourd'hui.
?6. Ce plan réduit à néant les gains des spéculateurs qui ne croient pas au sauvetage de la Grèce ou de la zone euro et qui parient sur un effondrement du cours des obligations grecques, mais aussi espagnoles, italiennes et irlandaises et qui devront assumer une baisse des spreads sur les CDS.
Opposition des banques
Quelles sont les chances de ce programme d'être adopté par la Grèce et les gouvernements européens, qui travaillent sur d'autres pistes ? Il repose en grande partie sur un pari : celui de rassembler l'essentiel des actifs publics grecs, soit une liste bien plus large que celle que la Grèce a rendue publique dans le cadre du plan de privatisation de 50 milliards d'euros figurant dans l'accord du 21 juillet. Il porte la conviction que les opérations de privatisation ainsi centralisées hors de Grèce (même si les capitaux grecs se voient accorder une priorité dans les opérations de cession) échapperont au risque de corruption et d'opacité.
Ce plan a d'autres mérites : il propose une voie nouvelle alors que l'Europe tourne en rond depuis le mois de juillet sur le sauvetage de la Grèce ; il évite à Athènes une cure d'austérité des plus graves et donne le temps de mettre en oeuvre les réformes structurelles que le gouvernement s'est engagé à réaliser ; il crée de la croissance immédiate et permet à la Grèce d'entrer à nouveau sur le marché ; il éloigne la perspective d'une crise systémique de l'Europe et il discrédite les spéculateurs. « Notre plan de redressement poursuit un objectif clair: aider financièrement la Grèce à restructurer son bilan et à générer une croissance pérenne », explique Martin Wittig, CEO de Roland Berger.
Même si ce plan est « porté » par un groupe de consultants, il est très probable qu'il n'a pas été conçu en dehors de l'entourage d'Angela Merkel et des experts de la Troïka. Roland Berger est par ailleurs un bon connaisseur du sujet des privatisations puisque c'était déjà ce groupe qui était à la manoeuvre dans la conduite des opérations de la Treuhand... Il lui faudra néanmoins compter avec l'opposition des banques et des marchés financiers, les premières parce qu'elles ont probablement leur idée sur la privatisation des actifs grecs, les seconds parce que la situation d'incertitude actuelle permet des jeux multiples et rémunérateurs
VI METTO UN SUNTO IN INGLESE , X LE CAPRE CHE NN CONOSCONO IL FRANCESE:
In French but 5 points (apologies for poor translation)

1,Greek public assets placed in common structure (equivalent to
Treuhand)
2,Structure purchased by ans EU Institution to oversee
privatisation
3,EU pays €125bn for assets,Greece uses money to buyback bonds
4,EU invests €20bn in assets to increase value assets
5,Privatisation profits paid to Greece by 2025
 
***Crisi: Barroso, la Grecia e' e restera' nell'Eurozona

(Il Sole 24 Ore Radiocor) - Strasburgo, 28 set - La Grecia
"e' e restera' nell'Eurozona". Lo ha detto il presidente
della Commissione Ue Jose' Barroso all'Europarlamento
indicando che questa e' una realta' e nello stesso tempo un
impegno di tutti i partner dell'unione monetaria.

Aps-y-

(RADIOCOR) 28-09-11 09:31:42 (0075)TV,news 3 NNNN
 
A financial trader in London caused a storm of outrage by suggesting that world leaders cannot do anything to prevent a global market collapse, saying that investment bank Goldman Sachs ruled the world.
Alessio Rastani's comments on BBC Television on Monday have gone viral, viewed by more than 360,000 people, but they fit so closely to the stereotype of a heartless banker that rumours are rife that he is actually part of a hoax.
Answering questions about world leaders' response to the eurozone debt crisis, the 34-year-old said traders "know the stock market is finished. The euro, as far as they're concerned, they don't really care".
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"Goldman Sachs rules the world" ... Alessio Rastani. Photo: BBC

"For most traders, we don't really care that much how they're going to fix the economy, how they're going to fix the whole situation, our job is to make money from it," he said.
"Personally I've been dreaming of this moment for three years. I have a confession, which is I go to bed every night, I dream of another recession."
As the BBC presenter looked on in shock, he added: "The governments don't rule the world. Goldman Sachs rules the world. Goldman Sachs does not care about this rescue package, neither does the big funds."
A Goldman Sachs spokeswoman said the bank had no comment.
The remarks by Rastani, described by the BBC as an independent trader, caused a storm on Twitter and in British newspapers, and prompted Spanish Finance Minister Elena Salgado to brand him "mad and immoral."
The Daily Mail website said it was the "moment trader told shocked BBC presenter the City just LOVES an economic disaster," while The Independent described him as "the trader who lifted the lid on what the City really thinks".
The Guardian asked readers in an online poll if they were shocked, with two options: "No, this is how capitalism works", or "Yes (but only by his honesty)".
Asked about his warning that millions of people's savings could vanish in the next year, Salgado said this was not the case as savings were guaranteed across Europe.
"He thinks that he can get money simply with this threat, with this statement," she told Spanish public television TVE.
"So he is not only mad, he is mad and immoral."
Other commentators meanwhile speculated that Rastani was simply expressing views in public that were privately held by many.
BBC business editor Robert Peston said on Twitter that Rastani had merely "voiced what traders working for big firms and funds say in private," while the Financial Times asked in a blog entry "Do traders dream of defaulting Greeks?"
Some media reports have suggested Rastani is a member of The Yes Men, a US-based protest group who claimed responsibility for a bogus report in 2004 on the BBC that Dow Chemical would compensate victims of the Bhopal disaster.

In an interview with Forbes website, he denied he bore any resemblance to the fictitious Dow spokesman who orchestrated that hoax and insisted he was a genuine trader who worked for himself.
The BBC also stood by him, saying it had carried out "detailed investigations" but could find no evidence to suggest Rastani was not what he claimed.


Read more: Goldman Sachs rules the world: UK trader
 
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