Obbligazioni perpetue e subordinate Tutto quello che avreste sempre voluto sapere sulle obbligazioni perpetue... - Cap. 2 (8 lettori)

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Rottweiler

Forumer storico
High Demand for High-End Real Estate in Paris - WSJ.com

Almeno a livello di intenti Groupa sta provando a vendere di tutto...

Con qualche elemento quantitativo in più:


03/05 | 21:00 | Myriam Chauvot
Le 52, avenue des Champs-Elysées est à vendre pour 500 millions d'euros

L'ensemble immobilier des années 30 a été mis en vente par le conseil immobilier Jones Lang LaSalle pour le compte de Groupama.


Un immeuble exceptionnel s'apprête à changer de mains pour plus de 500 millions d'euros. L'ensemble immobilier des années 1930 situé au 52 de l'avenue des Champs-Elysées, qui abrite l'emblématique Virgin Megastore, un Monoprix, une galerie commerciale et des bureaux, a été mis en vente par le conseil immobilier Jones Lang LaSalle pour le compte de Groupama, rapportait jeudi l'agence Bloomberg.
Groupama et son conseil ne font pas de commentaires. L'assureur a essuyé l'an dernier des pertes de 1,8 milliard d'euros dues à la dépréciation de la dette grecque, mais aussi à l'effondrement du cours de Veolia et de la Société Générale, dont il est un actionnaire significatif. Il a, en conséquence, déjà vendu un certain nombre d'actifs, dont certains immobiliers, comme sa participation dans la foncière Silic, reprise par Icade.
Relancer les rumeurs sur la fermeture de Virgin

La transaction sur le 52, avenue des Champs-Elysées pourrait aller vite car la date limite de dépôt des offres indicatives serait fixée à vendredi et les candidats seraient nombreux, dont des fonds souverains, croit savoir Bloomberg. Cette opération va relancer les rumeurs sur la fermeture du Megastore de Virgin.
L'enseigne britannique de produits culturels (livres, disques, vidéos), qui occupe une surface totale de 7.000 m2, dont 4.500 m2 dédiés à la vente, est confronté à l'explosion du marché des produits dématérialisés. Elle vient d'ouvrir un magasin plus petit dans la gare de Paris Saint-Lazare.
 

Rottweiler

Forumer storico
Ancora ristrutturazioni organizzative presso Groupama:


02/05/2012 | 16:50
Gouvernance : Groupama se rachète une conduite

Laura Fort

Le document de référence de l'assureur, publié lundi 30 avril, annonce l'introduction de nouvelles règles de gouvernance et le départ de différents administrateurs, en particulier celui de Jean Baligand.
Depuis le départ de Jean Azéma de la tête de Groupama, la question de la responsabilité du conseil d’administration se pose. Ce dernier, composé des présidents ou présidents délégués des caisses régionales de l’assureur, d’administrateurs indépendants et de représentants de salariés, devait en effet ratifier les décisions de l’ancien dirigeant. La gouvernance est donc mise à l’honneur dans le document de référence de l’assureur, publié lundi 30 avril.

Manque de transparence

Lors de la présentation des résultats annuels, Jean-Luc Baucherel, président de Groupama, reconnaissait d’ailleurs : "Il y a eu un manque de transparence de la direction générale vis-à-vis du conseil d'administration. Nous allons faire en sorte que cette transparence soit totale pour que le conseil d'administration prenne ses décisions en toute connaissance de cause".
En décembre, la CGT écrivait déjà que "Jean Azéma ne pouvait agir seul ; il a toujours eu l'aval et le soutien sans faille de tous les administrateurs de Groupama, et de Jean-Luc Baucherel, son président. Il suffit de consulter tous les comptes-rendus de conseil d'administration depuis 10 ans : jamais une voix discordante". Fin novembre 2011, la CFDT indiquait, elle, que le groupe avait notamment été pénalisé par "un défaut de contrôle du conseil d'administration de Groupama SA dans la mise en œuvre de la stratégie". Et le 19 avril, les salariés rassemblés à l’initiative de l’intersyndicale appelaient même à la démission du conseil d’administration avec le slogan : "Ils ont fauté! Ils doivent payer !".

Des administrateurs mieux informés et mieux... formés

Depuis 2005, Groupama évalue tous les ans le mode de fonctionnement de son conseil d’administration. Le document de référence 2011 relève qu’"un ensemble de changements majeurs intervenus au cours de l’année 2011 ont eu nécessairement un impact sur cette évaluation. […] Les méthodes de travail ont été revues et la nature de l’information communiquée au conseil d’administration et au comité d’audit et des risques dans le domaine financier a été enrichie". Il indique aussi que "des actions de formations des administrateurs ont été engagées, à la demande, de manière à permettre à ces derniers de répondre aux enjeux des décisions prises par le conseil d’administration, notamment en matière financière.

Par ailleurs, le suivi de la politique, des procédures et des systèmes de gestion des risques sera au cœur de la gouvernance du groupe en 2012." Voilà qui ne manquera pas de susciter des interrogations sur le rôle des administrateurs et leur compréhension de la situation financière du groupe jusqu’alors…En terme d’organisation, le comité stratégique a été supprimé le 1er janvier. Sont aux manettes : le comité de direction générale, composé de 12 membres, et le comité exécutif groupe, qui rassemble les dirigeants de Groupama SA et ceux des caisses régionales. Ce dernier "participe à l’élaboration et au suivi opérationnel de la stratégie du groupe", lit-on dans le document, en concertation avec des comités spécialisés des différents métiers.

Démission de Jean Baligand

Du mouvement a également eu lieu au sein du conseil d’administration. Jean Baligand, dont le mandat courait jusqu’en 2014, a présenté sa démission lors du conseil d’administration du 25 avril. Il avait occupé la fonction de président de Groupama de 1996 à 2004 et dirigeait la caisse régionale Rhône-Alpes Auvergne. La nomination de Jean-Louis Pivard pour lui succéder, sera soumise au vote de l’assemblée générale le 30 mai prochain. Ce dernier a déjà été adoubé le 11 avril lors de l’assemblée générale de la caisse régionale, dont il était vice-président depuis 1995.
Administrateur indépendant, Frédéric Lemoine, président du directoire de Wendel, a également démissionné le 15 mars dernier, officiellement par manque de temps. Aucun successeur n’est indiqué. Enfin, le 28 février, Maria Frigara a pris ses fonctions en tant qu’administrateur représentant les salariés, en remplacement de Henri Durand.
 

Rottweiler

Forumer storico
Dibattito tra europeisti e non, sul tema del mercato unico bancario.
Questa volta il ministro ceco ha sistemato per bene (a parole...) quel fighetto dell'Osborne:


Britain Remains a Dissenter as Europeans Try to Set Capital Reserves for Banks
By JAMES KANTER
Published: May 2, 2012

BRUSSELS — A meeting of European Union finance ministers turned a little unruly late Wednesday when George Osborne, Britain’s chancellor of the Exchequer, accused his counterparts of making him look like an “idiot” because he pushed for approval of stricter banking laws.

When the meeting finally broke up, Britain stood mostly alone among 27 European Union member states after refusing to give its blessing to a deal on capital requirements for banks to fortify them against a future crisis.

“Only one, maybe two, delegations disagreed in the end,” Margrethe Vestager, the economic minister of Denmark, told a news conference early on Thursday morning after 16 hours of talks.

Ms. Vestager, whose country currently leads the rotating presidency of the organization, said she hoped the deal would be approved by all countries at a followup meeting of finance ministers on May 15. “We are very, very close” to completing the law, she said.

Even if Britain still objected, the law could pass into force by a majority vote of other states and after approval by the European Parliament.

Earlier in the day, Mr. Osborne challenged his fellow European finance ministers to carry out the international accord, known as Basel III, raising the minimum amount of capital that banks are required to hold.

But after 10 hours of talks, a testy Mr. Osborne said that a deal on the table was inadequate because it failed to take into account his concerns and would subject Europe, and him, to ridicule at a time when the region was struggling to emerge from its debt crisis.

“We’re not implementing the Basel agreement, as anyone who takes a look at this text will be able to tell you — every bank analyst, every financial journalist, every other finance ministry in the world would say that,” said Mr. Osborne, referring to Basel III, the accord to raise the minimum amount of capital that banks are required to hold.

“I am not prepared to go out there and say something that would make me look like an idiot five minutes later,” Mr. Osborne said.

Miroslav Kalousek, the Czech finance minister, shot back, “George, looking like an idiot is one of the basic qualifications for a minister.”

That drew peals of laughter from assembled ministers at the late-night gathering in Brussels, but Mr. Osborne was infuriated by the jab.

“I represent the largest banking industry around this table by far,” Mr. Osborne said solemnly. “You’ve got to allow me to sit down and go through the issues, and you have not done that for 10 hours,” he said.

Mr. Osborne insisted that he was seeking rules that would be acceptable to regulators and authorities around the world including Jean-Claude Trichet, the former president of the European Central Bank, and his successor, Mario Draghi. “I will not be painted as somehow being anti-European or demanding something especially for London,” Mr. Osborne said.

Other ministers attending the meeting raised strong concerns about the proposed text, including Jacek Rostowski, the Polish finance minister.

Osborne said he supported efforts to reach a deal in negotiations that stretched well into Thursday morning.

Wolfgang Schäuble, the German finance minister, also expressed some concern, but had said a deal still was within sight. But France’s finance minister, François Baroin, left the meeting before the dust-up to watch the French presidential debate on television.

Reluctantly, Ms. Vestager agreed to continue the talks.

The ministers had been seeking agreement on requirements for banks to hold capital reserves that would function as a cushion against future losses. The idea is to help avoid financial crises like the one brought on by the collapse of the American investment bank Lehman Brothers in 2008.

The European Union faces a deadline of January 2013 to start phasing in rules agreed on by the Basel Committee on Banking Supervision raising the minimum reserve to 7 percent of a bank’s assets.

Backed by Sweden, Britain held firm to its demand that national regulators retain the option to require their banks to build up higher reserves than foreseen under a proposal by the European Commission, the European Union’s executive body, without prior approval.

Britain has the largest banking sector in Europe in relation to gross domestic product, followed by Sweden, and has long fought efforts by the European authorities to exercise greater control over the City of London, the biggest financial center in Europe.

But central governments in London and Stockholm are also extremely wary of putting taxpayers on the hook for future bailouts of their banking sectors.

“My country has been very, very close to very deep problems in the banking sector twice and we don’t want to be there again,” Anders Borg, the Swedish finance minister, told his counterparts at the meeting earlier in the day.

Mr. Borg sought to dismiss the view that Sweden and other nations that support more stringent requirements were seeking to attract more business for their sectors on the basis that they would be better capitalized than their rivals.

“We are not trying to make our own banking system gain a competitive advantage to somebody else,” he said. “We are trying to safeguard our taxpayers and our society from the risks that a large banking sector is creating.”

France and Austria are among nations that firmly opposed that view, saying that raising reserve requirements in one country could lead banks based there to reduce lending to their foreign subsidiaries, in turn damaging the economies of those nations.
 
Stato
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