NicOx : Garufi ... e la Rivoluzione Pharma

Stato
Chiusa ad ulteriori risposte.
Nicox change de banque en cours de partie

Nicox a réussit seul à mener la recherche développement du Naproxcinod. La FDA n’a pas demandé d’études complémentaires. La qualité de l’équipe de recherche développement de la première biotech est désormais reconnue.
La négociation d’un partenariat est en échec depuis 2 ans. La qualité des études du Naproxcinod ne peut être mise en cause par les candidats partenaires.
La notice reste le seul élément d’incertitude négociable. La négociation se heurte à la faible trésorerie de Nicox. Cette trésorerie aurait pu être suffisante si le partenariat avait été signé. D’autant qu’outre le coût du marketing du Naproxcinod, Nicox va devoir comptabiliser le coût d’étude en phase III du NO-Xalatan à moins de signer un partenariat avant la phase III.

1) La trésorerie
La trésorerie de Nicox était d’un peu moins de 64 millions d’euros devenait le point faible de Nicox.
La trésorerie augmente de 50% : 30 millions d’euros suite à AK.
Les dépenses de Nicox vont se réaliser aux USA donc en dollars avec un taux de change avantageux à 1.5$ pour 1 euro.
Une seconde augmentation de capital a été annoncée de 70 millions d’euros lorsque les conditions du marché le permettront.

2) Les investisseurs
Entrée du FSI : 5.1% du capital (20 millions d’euros investis). Le FSI pourrait investir jusqu’à 25 millions d’euros au total.
Entrée de nouveaux investisseurs (10 millions d’euros).
Depuis le retrait de Oppenheimer (20% du capital cédé sur le marché) aucun nouvel investisseur ne s’est déclaré. L’absence de gros actionnaires était un point faible de Nicox.
Aujourd’hui Oppenheimer reste présent pour 5% du capital.
D’autres investisseurs ont pris 2.5% du capital.
Pfizer est présent pour 3.81% du capital.
Pfizer a cédé ses droits de commercialisation en ophtalmologie à Nicox. Il est possible que Pfizer sorte du capital à cette occasion (ce qui expliquerait la chute du cours). On comprendrait que Pfizer fasse le ménage dans son portefeuille avant la fin de l’année. Rien n’a été annoncé, mais cela le serait après la vente de sa participation. On comprendrait alors pourquoi Nicox a fait entrer le FSI et d’autres investisseurs avant la fin de l’année.
Nous ne pouvons actuellement pas savoir si Pfizer était potentiellement intéressé par une autre molécule (par exemple le NO-Lipitor : NCX6560), auquel cas Pfizer aurait intérêt à rester présent au capital.
La prise de participation du FSI pourrait faire redécouvrir Nicox aux investisseurs, la plus grosse biotech européenne.

3) Les molécules
a) Les résultats de la phase I du NCX 6560 sont connus et apparaissent prometteurs.
Le NCX 6560 apparaît aussi performant sur la baisse du cholestérol que le Lipitor. Les qualités de la nouvelle molécule reposeront sur les propriétés du NO sur la prévention de l’athérosclérose voire de la limitation des effets secondaires du Lipitor grâce au NO ou à la limitation des doses à résultats équivalents ou supérieurs. La preuve du principe est validée.
Le NCX 6560 semble s’engager sur une indication chez les patients présentant une coronaropathie, c'est-à-dire chez des patients qui ont déjà une importante complication de l’athérosclérose (patients ayant les vaisseaux qui nourrissent le cœur, obstrués).
Le choix de ce groupe de patient devrait permettre une observation de l’évolution de la maladie coronarienne et pratiquer une étude statistique sur des examens cliniques et paracliniques bien codifiés. Une amélioration de l’athérosclérose sur des vaisseaux de petits calibres devrait permettre des résultats plus « visibles » statistiquement donc de limiter la population étudiée. Une évolution favorable de la maladie coronarienne sera facilement exploitable sur une projection de morbidité et de mortalité. Le coût de la morti-morbidité attribuée à la maladie coronarienne est connu.
Le NCX 6560 prendrait une place différente dans la stratégie thérapeutique que les statines actuelles face à la maladie athéromateuse. Les autorités de santé ne devraient pas craindre la substitution des génériques des statines actuelles pour l’ensemble des patients.
Le prix du médicament demandé par Nicox pourrait ainsi être plus élevé.
La phase II ne devrait pas être trop coûteuse pour Nicox. Il semble bien qu’elle soit déjà bien ficellée.
Un partenariat devrait être recherché dés la preuve concept validée.

b) Le rachat des droits de commercialisation des NO-molécules en ophtalmologie à Pfizer. Ce rachat n’a pas été prévu dans la stratégie de développement de Nicox. Il s’agissait de bénéficier de l’opportunité du retrait de Pfizer de l’ophtalmologie. Le coût d’acquisition des droits de commercialisation a été très faible.
Un partenariat devrait être signé pour la molécule du NO-Xalatan.
Le NO-Xalatan a un potentiel d’un CA annuel de 300 millions$ à 500 millions$ d’après les projection du plus gros laboratoire mondial, Pfizer.
La phase III devrait débuter au T1 2010.
On peut imaginer que les candidats partenaires fassent une pression importante sur les conditions financières du partenariat. La molécule est revenue à Nicox avec un coût très modique. Nicox ne peut débuter une coûteuse phase III actuellement sans amputer le marketing du Naproxcinod. Le temps perdu pour le NO-Xalatan est déjà de 1.5 ans depuis l’annonce des résultats de la phase II par Nicox.
L’augmentation de 50% de la trésorerie de Nicox pourrait renvoyer les candidats partenaires dans leurs cordes et permettre à Nicox d’aborder les prochaines reprises avec d’autres arguments.
L’annonce d’une deuxième augmentation de capital rend crédible le lancement d’une phase III sur le NO-Xalatan et le développement du marketing du Naproxcinod.

c) Le Naproxcinod a été jugé recevable par la FDA. Les autorités européennes devraient bientôt recevoir le dossier du Naproxcinod. La recevabilité du dossier par la FDA est déjà un élément favorable à l’échelon européen.
La date de l’avis de la FDA a été fixée au 28 juillet. Il reste donc 8 mois avant l’avis de la FDA. Nicox se doit de se préparer le marketing du Naproxcinod. Cette dépense n’était prévue. L’évaluation de l’upfront du Naproxcinod lors de la signature avec le partenaire en sera d’autant réévaluée. Les incertitudes levées en ce qui concerne, d’une part la date de dépôt du dossier, d’autre part la recevabilité du dossier son levées ce qui diminue par voie de conséquence l’incertitude de la commercialisation. L’incertitude de la date de la réponse de la FDA est maintenant totalement levée. Ces paramètres permettent d’ors et déjà de réévaluer le prix du Naproxcinod soit en upfront soit en royalties.
Nicox doit investir dans le marketing du Naproxcinod pour atteindre les spécialistes et en particulier passer à une nouvelle étape en recrutant ou en achetant un réseau commercial. L’achat d’une biotech possédant un réseau commercial n’est pas à exclure.
On peut dés lors comprendre pourquoi Nicox se devait de prévoir dés maintenant une 2e augmentation du capital. La levée de 70 millions d’euros est déjà programmée.

Actuellement Nicox montre aux candidats partenaires que leur attentisme a un coût. Le coût leur sera répercuter augmenté sensiblement du coût des levées des incertitudes. Le dossier des clauses négociables devient de moins en moins épais.
Nicox, par ces augmentations de capital, montre que les molécules à commercialiser ont convaincu les investisseurs d’un bon retour sur investissement. Il apparaît donc que les propres investisseurs des gros laboratoires ne devraient pas sanctionner le partenariat avec Nicox mais au contraire valoriser le CA potentiel acquis.

La chute actuelle du cours pourrait être la conséquence :
-la vente de gros actionnaires tels que Pfizer.
-l’approche de la fin d’année
-la potentielle dilution du capital qui pourrait inquiéter
-l’obstruction à une prochaine AK de Nicox à un cours plus important
-le mécontentement des investisseurs d’avoir été si peu servis à coté du FSI
-Le mécontentement de certains candidats partenaires qui exercent une pression pour rendre L’explication la plus probable est la sortie de Pfizer qui menaçait depuis son retrait de l’ophtalmologie. L’entrée du FSI apparaîtrait alors particulièrement opportune.
Nicox parle beaucoup de la constitution du réseau marketing aux USA, mais ne parle plus des partenariats. Le silence sur les discussions des partenariats, en particulier la faiblesse de Nicox dans la négociation pour le NO-Xalatan, pourrait justifier l’entrée actuelle du FSI. L’arrivée du FSI est proportionnellement très importante par rapport aux investisseurs (2/3 de l’AK). L’état français pourrait apparaître indirectement comme un atout puissant pour Nicox dans les négociations de partenariats.
Il apparaît moins probable que la négociation du partenariat du Naproxcinod soit difficile. La position de force de Nicox ne fait que de se renforcer contrairement au NO-Xalatan. Pour le NO-Xalatan l’argent de l’AK c’est avant tout du temps pour Nicox…Pour le Naproxcinod le temps c’est avant tout de l’argent que devra débourser le futur partenaire.
Nicox demande des cartes, le FSI vient à la table de jeu avec 20 millions d'euros. Pfizer pourrait quitter la table. La partie de poker continue.
 
Dernière heure :NicOx avance vers l'intégration sous le feu des interrogations

Une DILUTION d'environ 35 % pour les ACTIONNAIRES


--> En gros, on fait directement dans le sensationnel : on dilue de 35% direct (personne n'en sait vraiment quelque chose, mais chaque analyste y va de son petit avis)

Quels signes NicOx envoie-t-elle aujourd'hui en levant des fonds alors qu'elle n'en aurait pas fondamentalement besoin ? Telle est la question qui sème le doute au sein de la communauté des analystes au lendemain de l'annonce du placement privé de la biotech française cotée sur Euronext. La firme, qui disposait de 66,8 millions d'euros de trésorerie fin septembre, vient d'annoncer qu'elle souhaitait lever 100 millions d'euros, en deux étapes, afin de financer le lancement aux États-Unis de son anti-inflammatoire phare, le naproxcinod.

--> Le début de cette partie révèle immédiatement le problème structurel qui agit en permanence sur le cours de NicOx en actionnant la manette "volatilité". A chaque nouvelle, personne ne comprend quoi que ce soit à MG. Mais en fait, est ce que le fond du problème est lié au fait qu'MG n'est pas clair (à défaut que personne n'écoute ce qu'il dit), ou au fait qu'MG ne fait pas comme les analystes auraient aimé qu'il fasse ? Je pense très honnêtement un peu des 2. Les analystes se sentent obligés de donner des conseils à MG tellement de manière générale, ils pensent savoir mieux que lui comment diriger une société. Mais à contrario, MG et surtout KH n'ont pas toujours étaient des modèles de clarteté avec les marchés financiers... Un partout, la balle au centre.

Le premier volet du refinancement, qui a été conclu mercredi 18 novembre, a consisté en un placement privé sous la forme d'une construction de livre d'ordres accélérée d'un montant de 30 millions d'euros. Sur cette somme, 20 millions d'euros ont été apportés par le Fonds stratégique d'investissement (FSI) français (1), qui devient ainsi, avec 5,1 % du capital, le premier actionnaire de NicOx, devant Pfizer (2,8 %) et Michele Garulfi, le CEO (1,58 %). La suite des opérations devrait être conclue dans les jours à venir, en réalisant une augmentation de capital de l'ordre de 70 millions d'euros avec maintien du droit préférentiel de souscription des actionnaires actuels.

--> voilà excatement ce qu'on sait à ce jour. Donc la dillution de 35%... c'est au bon vouloir du journaliste qui écrit l'article. Pour autant, je pense qu'effectivement, les 35% ne seront pas loin de la vérité, et je m'en réjouis (j'ai expliqué dans un autre post le pourquoi de mon "réjouis").

« Au-delà de la démonstration que NicOx attire toujours, la question de l'utilisation de ces fonds reste entière. J'ai beau tourner le problème dans tous les sens, je ne comprends vraiment pas cette opération », nous a confié un analyste, sous couvert d'anonymat.

--> La classe internationale : Sous couvert d'anonymat. Ca pourrait être ma petite soeur que personne n'en saurait rien. Pas besoin de tourner le problème dans tous les sens, il suffit juste d'écouter le discours d'MG qui a toujours dit vouloir avoir la main sur les spécialistes. Il se les paye ajd. Je ne voix pas ce qu'il y a de compliqué à comprendre. En revanche, c'est certain que ces analystes ne feront pas d'argent à court terme sur NicOx, forcément, ça les chagrine. Mais continuons...
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« Quoi qu'il arrive, NicOx devra trouver un partenaire pour lancer son naproxcinod, et ce rapidement. Ce partenariat apportera un upfront qui devrait tourner autour de 100 millions d'euros. Cette somme sera largement suffisante pour lancer une force de vente de spécialistes, comme le souhaite le CEO. Dans ce cas, lever de l'argent devient inutile et même risqué puisque cela va diluer l'actionnariat actuel de l'ordre de 35 % ».

--> Et vladadam... on commence bien et ça fini mal... NicOx trouvera un partenarire pour les généralistes, et se garde sa propre force de vente pour les spécialistes... L'argent qu'il récupéra de l'upfront servira à relancer sa "Deming's Wheel" et remplir à nouveau son pipeline, assurer sa partie sur les spécialistes, et surtout, avoir de quoi négocier les autres partenariats (cf la réflexion globale plus bas de Laurent Arthaud).


Parmi les réponses apportées par le management, Michele Garulfi, décontenancé par les réactions des analystes, s'insurge : « Préparer le lancement d'un produit, en achetant la matière première, en réalisant le prémarketing et en organisant des réunions avec les médecins coûte très cher. Pour le Celebrex®, qui est le concurrent direct du naproxcinod, Pfizer a par exemple dépensé près de 550 millions d'euros l'année précédant le lancement ».

--> Bon MG pourrait aussi comprendre qu'une dillution, même créatrice de valeur, à première vue, fait toujours mal quand ça fait plusieurs dizaines de mois que le cours ne décolle pas. En revanche, je suis à fond dans son sens quand il dit qu'il ne comprend pas que ces et ses décisions prises ne soient pas mieux perçues. Et la remarque d'MG ci-dessus met clairement en lumière ce point bien précis : sa culture et son appréhension du milieu pharmaceutique, et plus particulièrement celui relatif au lancement d'une molécule. Les analystes la plus part du temps restent cloisonnés à leur fichier excel, dans lesquels ils remplissent des casses, qui sont injectées dans une formule et qui donne un résultat. En soit, rien de choquant, mais c'est précisement ce genre d'approche que les analystes ont eu vis à vis des subprimes, de la titrisation, etc... et on a connu le résultat. Alors je ne dis pas là que tous les analystes sont des cruches loin de là, mais je constate quand même, après avoir parcouru finement et à plusieurs reprises pas mal d'analyses publiées que volontairement (ou pas...), ils occultent en permanence ce genre de chose (coût de l'approvisionnement par exemple, préparation marketing, etc). MG fait les choses en grand, soyons en fier, non ? Quand il fait des congrès, ou qu'il participe à des conférences, les stands ont de la gueule et souvent proche de gros labo (la dernière en date, NicOx "squattait" juste à coté d'Abbott...). De plus, agir comme ça, permet à MG de continuer à avancer sans le partenaire. Plus ça va, plus le futur partenaire va "cracher" de l'argent, car le naproxcinod, c'est un superbe médicament et c'est pas les analystes qui le disent, mais celui qui a eu la peau du Vioxx et ça tout le monde le zap en permanence. Chacun son métier. Sur les fondamentaux scientifiques, ce sont les médecins / chercheurs / spécialistes qui sont capables de juger, sur les fondamentaux financiers, les analystes / experts financiers ... Autrement dit, quand on lit que Besserve dit "fin du rêve du Naproxcinod", moi ça me fait vraiment rire et me faire dire que lui en tout cas, son niveau de crédibilité est proche de la température actuelle dans l'antartique nord.


Du côté du FSI, Laurent Arthaud, directeur du fonds biotech, justifie l'investissement en soulignant que « détenir une trésorerie solide, pour amorcer des pourparlers avec des partenaires pharmaceutiques, est un pré-requis primordial pour négocier au mieux les termes financiers, et notamment le taux de royalties ».

--> Cette phrase montre 2 choses :
a) Besserve dans son analyse (La nouvelle analyse de la SG :) ment clairement. Le FSI ne vient pas pour aider NicOx à se passer du Naproxcinod qui serait en fait un médicament de merde. Mais bien pour l'aider à renforcer sa position dans les négociations
b) On comprend tout de suite que le FSI a la même vision que NicOx sur le développement de la société. En effet, il insiste bien sur le taux de royalties, c'est à dire le futur revenue réccurent de NicOx lié aux ventes du naproxcinod.

Des arguments fragilisés par le fait qu'une biotech, même avec plusieurs millions d'euros de cash, ne peut se permettre d'attendre trop longtemps pour signer un deal, car chaque mois de tractation est un mois d'exclusivité en moins pour son brevet. Pour comprendre donc la levée de ce jour, il faut peut-être regarder de plus près l'actionnariat très épars de NicOx, sa valeur concentrée à près de 70 % sur un seul produit, et confronter tout cela aux ambitions du P-dg de la firme, qui souhaite faire de sa société une biopharma pleinement intégrée.

--> Il me semble que cette partie est claire :
a) Elle sous entendu que le FSI juge que NicOx est une société stratégique pour l'industrie FR
b) Qu'il ne faut plus trop attendre, car il est clair qu'un mois de retards de commercialisation, sur un revenu de 1 milliard / an, ça fait désordre...
c) ça peut sous entendre qu'on aurait une surprise relative au point bloquant mis en avant par les analystes, qui soit dit en passant, prendrait tout le monde à contre pied (pour le point bloquant, je vous laisser deviner
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)
Clairement, il y a une envie commune de se magner le train, et de protéger une société stratégique.


Faire entrer le FSI, qui réalise là un investissement sans trop de risques, et enlever une partie du côté spéculatif du titre, pourrait être une stratégie préparée dans le but d'éviter une absorption globale par une pharma. Comment le management de NicOx pourrait-il, sans cela, retenir ses actionnaires devant un chèque potentiel qui pourrait dépasser les 600 millions d'euros ?

--> On en revient toujours au même point. Faire de l'argent en un laps de temps le plus cours possible. C'est peut-être ça aussi qui énerve beaucoup d'actionnaires pro et particuliers. Certains ont peut etre trop investi sur cette valeur en méconnaissant le business d'une biotech, et en sous estimant à CT le discours d'MG (pourtant clair depuis le discours de 2007). Personnellement, en tant qu'actionnaire, je supporte l'AK avec plaisir (même si l'effet dilutif CT me froisse), en revanche, me faire manger pour 600m€ avec un tel médicament, au secours, mais ce serait un scandale. Alors, si justement, le FSI pouvait faire gicler toutes les abeilles qui pensent pouvoir butiner du miel quand bon leur semble, alors j'en serait heureux.
Allez voir les actionnaires qui ont souscrit à l'AK de CIT (qui devait ne pas faire faillite car 2 Big 2 fall), aller voir les actionnaires de NVAX (en ce moment), etc... On se prend une AK avant un décollage en ligne droite. Le "Boss" nous propose de se goinfrer une dernière fois, alors quoi faire ? Moi, je vais faire mon gourmand... Même si financièrement, ça peut impliquer un petit sacrifice, mais quelle belle probabilité de bénéfice
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.

(1) - Lire « France : le FSI arrive, le problème de fonds reste ! » dans le n°421 de Bf du 08/06/2009
Juliette Lemaignen, [email protected]
© Bf n°439 du 23/11/2009[/quote]
 
MG, cosa sta combinando con la Società ?

Una parte di noi piccoli azionisti al momento si sente presa in giro.

1) Non si fa un pre-annuncio di AK per far scendere anticipatamente il titolo, visto che comunque sul mercato è risaputo che ogni annuncio di AK comunque lo fa scendere, quindi i pre-annunci ( non è la prima volta che la Società li fa ) faranno solo e solamnte più male alla quotazione a discapito di chi ha sostenuto MG in AGE, ossia i piccoli, eh sì cari lettori - azionisti, perchè pubblicamente è stato detto che grazie a noi piccoli alcune delibere strategiche sono passate.

Rammento che già a Maggio - Giugno era probabilmente presente il predatore, in quanto la partecipazione ai voti assembleari è stata del 24-25 %, quindi pare evidente che qualcuno volesse già da tempo affondare la barca per papparserla per pochi spiccioli.

L'entrata di FSI, seppur positiva è stata a prezzi stracciati, e di nuovo altro "regalo", almeno lì avremo una garanzia anti-OPA ostile, però comunque posso anche pensare che un Governo se vuole sostenere un'azienda lo fa anche a prezzi più alti ( tipo 9-10 € ).

La rete di commercializzazione negli USA è un azzardo, sapendo che esistono Big e Mid Pharma con la loro rete pronta e capillare, senza necessariamente doverne fare una nostra, la cui attuazione peraltro è costosissima.

Il ritardo nella presentazione del dossier del Naproxcinod presso EMEA, personalmente lo ritengo un gravissimo errore strategico: se si fosse presentato a marzo 2009 avremmo avuto il Naproxcinod probabilmente approvato per l'UE in anticipo, rispetto a FDA e quindi avremmo avuto un punto di maggior forza, sia per l'eventuale risultato USA, sia per una giusta contrattazione con qualche partner in USA, sia per anticipare la eventuale co-commercializzazione del farmaco in UE e che senz'altro avrebbe aiutato la quotazione e l'apprezzamento della Società.

Le mie perplessità su determinati modus e strategia sono per lo meno "discutibili" in quanto è ovvia la conseguenza negativa nei confronti della Società.

Staremo a vedere alla fine, comunque personalmente dissento su diverse scelte e sul modus di attuazione di esse, peraltro parzialmente in contraddizione con quanto affermato dala Società nelle diverse interviste rilasciate.

Certo, tutto questo, sempre con la solita premessa "per quello che ci è dato di sapere" ....
 
Science sans consience

Les financiers pensent que les dividendes de Nicox vont être divisées par l’AK.
Il faut les rassurer : Nicox ne verse pas de dividendes et n’en versera pas avant plusieurs années.
Il n’y pas de partage du bénéfice. Il n’y a pas de bénéfice.
La dilution est virtuelle.

Nicox est une biotech qui consomme du capital.
Les biotech sont des sociétés qui ne font progresser leur recherche développement que par des augmentations de capital.
La performance de la recherche développement permet d’élaborer des molécules qui seront vendus à des malades.
Pour le moment Nicox a développé un AINS qui sera au moins aussi performant que ceux existants et qui sera le seul à ne pas élever la pression artérielle.
Aujourd’hui les investisseurs se demandent ce qu’il y aura d’inscrit sur la notice…
Aujourd’hui nous savons que tous les AINS augmentent la mortalité et la morbidité cardio-vasculaire. Aujourd’hui nous savons que les AINS augmentent la pression artérielle. Certains pensent que c’est peu, voire négligeable. Pensent-ils seulement aujourd’hui pouvoir prendre ces AINS sans risque…
Hier d’aucuns pensaient aussi que de si petits comprimés ne peuvent faire mal l’estomac…
Demain certains comprendront, sans doute, que les patients arthrosiques ont plus de 50 ans, avec de nombreux risques cardio-vasculaires voire hypertendus ou diabétiques…Demain, sans doute, pour ne plus avoir mal ils devront avoir recours aux antalgiques. Ils devraient se demander aujourd’hui, lorsqu’ils auront mal, quel produit ils choisiront demain…
Sciences sans conscience ne ruine pas que l’âme…mais aussi quelques organes nobles.
Quand aux petits porteurs ils sont le plus souvent ruinés par les financiers que par des médicaments…
 
Stato
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