è uscita la trimestrale
CGG
I risultati del tutto insoddisfacenti, il debito elevato e le prospettive al ribasso per il 2017, hanno contraddetto le attese di molti analisti (IMHO troppo ottimisti dal momento che per parlare di ripresa bisogna far prima ripartire il mercato delle nuove ricerche)
Bond ed azioni sotto pressione.
XS1061175607 CGG 15/05/2020
Alcuni articoli
AOF) - C"est la déception qui l'emporte après les résultats trimestriels de CGG, dont le titre plonge de 12,7% à 19,93 euros. Les optimistes qui espéraient une amélioration opérationnelle du spécialiste des études sismiques, ou au minimum, la confirmation d'une reprise, même timide, de l'activité dans le sillage des cours du brut, déchantent. CGG a enregistré une perte opérationnelle de 38,9 millions, contre un gain de 4,3 millions un an plus tôt. L'Ebitda a chuté de 20,3% à 97,2 millions pour donner une marge de 36,8%, en forte hausse par rapport au troisième trimestre 2015 (26%).
Le chiffre d'affaires a baissé de 44% à 264 millions.
La dette nette a atteint 2,3 milliards de dollars à fin septembre. Dans ce cadre, le groupe a confirmé son objectif d'une dette inférieure à 2,4 milliards en fin d'année.
Si l'objectif de dette est maintenue, la visibilité reste floue. Cité dans le communiqué, le directeur général du groupe, Jean-Georges Malcor a reconnu que "le contexte de remontée des prix du brut ne s'est pas traduit, à ce stade, pour notre secteur par une amélioration des conditions de marché, qui restent difficiles".
Le dirigeant qui attendait début 2016, l'amélioration de certaines des activités de CGG pour 2017 estime désormais que le marché devrait rester en 2017, très similaire à 2016.
Dans ce contexte et au regard de sa performance du quatrième trimestre, le groupe assure qu'il prendra les mesures nécessaires pour évaluer les options existantes à court et long terme, afin de répondre au mieux aux contraintes de sa structure financière
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CercleFinance.com) - CGG a fait état mardi d'un chiffre d'affaires en recul et d'un résultat opérationnel pour son 3ème trimestre, invoquant des conditions de marché 'toujours difficiles'.
Alors qu'il envisageait en début d'année une amélioration de certaines de ses activités en 2017, le spécialiste de la géologie pour le secteur des hydrocarbures indique que ses dernières discussions laissent penser que son marché devrait rester en 2017 'très similaire à 2016'.
Lors du trimestre écoulé, son chiffre d'affaires s'est établi à 264 millions de dollars, contre 469,8 millions de dollars un an plus tôt.
Son résultat opérationnel, qui était positif à hauteur de 4,3 millions de dollars au troisième trimestre 2015, ressort cette fois déficitaire à -38,9 millions de dollars.
La perte nette a malgré tout été réduite, passant de plus d'un milliard de dollars il y a un an à -87,9 millions de dollars à l'issue du troisième trimestre 2016.
Jean-Georges Malcor, le directeur général de CGG, explique que la remontée des prix du brut ne s'est pas traduit, à ce stade, par une amélioration des conditions de marché.
Le cadre dirigeant prévient que le quatrième trimestre de CGG restera fortement dépendant de la saisonnalité de l'activité dite 'multi clients', et plus particulièrement du niveau des après-ventes.
Dans ce contexte, le groupe indique rester 'pleinement concentré' sur la gestion de ses coûts, du cash et de la préservation de sa liquidité.
L'action réagissait mal à toutes ces informations mardi matin à la Bourse de Paris, accusant une perte de 10,6% à 20,7 euros au bout de quelques minutes de transactions.
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CGG a accusé au troisième trimestre 2016 une perte nette de 87,9 millions de dollars contre une perte de 1,074 milliard au troisième trimestre 2015. La société de services pétroliers a enregistré une perte opérationnelle de 38,9 millions, contre un gain de 4,3 millions un an plus tôt. L'Ebitda a chuté de 20,3% à 97,2 millions pour donner une marge de 36,8%, en forte hausse par rapport au troisième trimestre 2015 (26%). Le chiffre d'affaires a baissé de 44% à 264 millions.
La dette nette a atteint 2,3 milliards de dollars à fin septembre. Dans ce cadre, le groupe a confirmé son objectif d'une dette inférieure à 2,4 milliards en fin d'année.
Jean-Georges Malcor, directeur général de CGG, a déclaré : "Le contexte de remontée des prix du brut ne s'est pas traduit, à ce stade, pour notre secteur par une amélioration des conditions de marché, qui restent difficiles. Cet environnement a pesé sur le niveau de notre chiffre d'affaires au troisième trimestre, alors que notre quatrième trimestre reste fortement dépendant de la saisonnalité de notre activité Multi Clients, et plus particulièrement du niveau des après-ventes".
"Alors que nous attendions début 2016, l'amélioration de certaines de nos activités pour 2017, et tandis que nos clients sont encore en phase de planification budgétaire, nos dernières discussions nous laissent à penser que notre marché devrait rester en 2017, très similaire à 2016. Dans ce contexte et au regard de notre performance du quatrième trimestre, nous prendrons les mesures nécessaires pour évaluer les options existantes à court et long terme, afin de répondre au mieux aux contraintes de notre structure financière".