Obbligazioni perpetue e subordinate Tutto quello che avreste sempre voluto sapere sulle obbligazioni perpetue... - Cap. 2 (6 lettori)

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Ella

qui e ora ...
ciao marco, e'che avevo letto nel tuo post una sorta di "pretesa" di spiegazioni (errore mio)
non preoccuparti per il grassettato sopra perche' trovare uno meno preparato di me ce ne vuole:lol: e come hai potuto vedere posto frequentemente
Credo sia un primato tutto mio !!! :D

Io non riesco neanche a postare ... :(
 

Rottweiler

Forumer storico
Le ultime notizie da Groupama:

27/04 | 14:45 | mis à jour à 19:30 | Laurent Thevenin et Anne Drif
Allianz sur le point de reprendre GAN Eurocourtage

Groupama est entré en négociation exclusive avec l'assureur allemand pour la vente des activités d'assurance-dommages de GAN Eurocourtage. Le portefeuille d'assurance-transport n'est pas concerné par ces discussions.

Le dénouement se rapproche dans le dossier GAN Eurocourtage. Sauf revirement de dernière minute, la filiale de Groupama dédiée au marché du courtage va tomber dans l'escarcelle d'Allianz. Le groupe mutualiste et l'assureur allemand sont entrés vendredi en négociation exclusive. Leurs discussions porteront uniquement sur les activités courtage de GAN Eurocourtage en assurance de biens et de responsabilité (environ 850 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2011), mais pas sur le transport. Cette branche avait été fusionnée avec GAN Eurocourtage début 2012. Groupama avait renoncé à vendre l'activité d'assurance-vie.
Avec cette opération, Allianz sera le deuxième acteur du courtage IARD en France. Candidat de la première heure, le premier assureur européen a donc finalement pris le dessus sur les pools de fonds et de réassureurs entrés plus tardivement dans la course et qui étaient prêts à racheter également la partie transport. Selon plusieurs sources, Swiss Re, associé aux fonds PAI et Apax, avait déposé la semaine dernière une offre comprise entre 500 et 600 millions d'euros. Un autre tandem composé du fonds Chequers Capital et du réassureur allemand Hannover Re était également sur les rangs pour une offre un peu moins élevée. Selon nos informations, le fonds Advent associé à l'assureur Generali était aussi candidat. De l'avis général, GAN Eurocourtage, numéro trois sur son marché, est la pépite du groupe mutualiste.
Conclure l'affaire au plus vite

Contraint de se délester de plusieurs filiales pour restaurer sa marge de solvabilité, tombée à 107 % fin 2011 et récupérer du cash, Groupama est, semble-t-il, décidé à conclure l'affaire au plus vite. D'autant plus qu'il pensait initialement boucler la cession de GAN Eurocourtage début mars et qu'il a intérêt à rembourser rapidement les 300 millions d'euros apportés par la Caisse des Dépôts et Consignations. Vendredi, Groupama et Allianz n'ont pas donné d'indication de prix.
« La solution Allianz nous va mieux qu'une reprise par un consortium avec des fonds d'investissements. Mais nous allons maintenant être très attentifs sur le volet social », prévient Martial Le Pennec, délégué syndical central CFDT. Plus de 640 alariés de GAN Eurocourtage seraient directement concernés par la cession de l'activité IARD.
Les courtiers, qui ont évidemment suivi de près les nombreux rebondissements de ce feuilleton au long cours, qui concerne un fournisseur important pour eux, sont aussi dans l'expectative. « Ce qui nous importe, c'est que l'on garde au final un guichet qui nous soit dédié, comme l'est GAN Eurocourtage avec une culture similaire vis-à-vis du courtage », souhaite Dominique Sizes, le président de la Chambre syndicale des courtiers d'assurances (CSCA).
Quant à l'activité transport de Groupama, qui a réalisé 326 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2011, elle semble, elle aussi, promise à la vente. La note du groupe mutualiste (BBB-chez Standard & Poor's, BBB chez Fitch) est en effet devenue trop pénalisante, lui faisant perdre des affaires.
 

ferdo

Utente Senior
Una decina di giorni fa, sulle prime nubi, avevo venduto una parte delle ca 868 a 69,75, le kbc a 74,75. Alla luce delle quotazioni, le seconde sembrano reggere in modo sorprendente, rispetto a come usavano scivolare al primo alito di vento.

anche io avevo venduto le ca ma non ricordo a quanto
mi ero tenuto le sns che invece han pattinato giù, ma ho pmc più o meno ai valori di oggi
 

Zorba

Bos 4 Mod
Le ultime notizie da Groupama:

27/04 | 14:45 | mis à jour à 19:30 | Laurent Thevenin et Anne Drif
Allianz sur le point de reprendre GAN Eurocourtage

Groupama est entré en négociation exclusive avec l'assureur allemand pour la vente des activités d'assurance-dommages de GAN Eurocourtage. Le portefeuille d'assurance-transport n'est pas concerné par ces discussions.

Le dénouement se rapproche dans le dossier GAN Eurocourtage. Sauf revirement de dernière minute, la filiale de Groupama dédiée au marché du courtage va tomber dans l'escarcelle d'Allianz. Le groupe mutualiste et l'assureur allemand sont entrés vendredi en négociation exclusive. Leurs discussions porteront uniquement sur les activités courtage de GAN Eurocourtage en assurance de biens et de responsabilité (environ 850 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2011), mais pas sur le transport. Cette branche avait été fusionnée avec GAN Eurocourtage début 2012. Groupama avait renoncé à vendre l'activité d'assurance-vie.
Avec cette opération, Allianz sera le deuxième acteur du courtage IARD en France. Candidat de la première heure, le premier assureur européen a donc finalement pris le dessus sur les pools de fonds et de réassureurs entrés plus tardivement dans la course et qui étaient prêts à racheter également la partie transport. Selon plusieurs sources, Swiss Re, associé aux fonds PAI et Apax, avait déposé la semaine dernière une offre comprise entre 500 et 600 millions d'euros. Un autre tandem composé du fonds Chequers Capital et du réassureur allemand Hannover Re était également sur les rangs pour une offre un peu moins élevée. Selon nos informations, le fonds Advent associé à l'assureur Generali était aussi candidat. De l'avis général, GAN Eurocourtage, numéro trois sur son marché, est la pépite du groupe mutualiste.
Conclure l'affaire au plus vite

Contraint de se délester de plusieurs filiales pour restaurer sa marge de solvabilité, tombée à 107 % fin 2011 et récupérer du cash, Groupama est, semble-t-il, décidé à conclure l'affaire au plus vite. D'autant plus qu'il pensait initialement boucler la cession de GAN Eurocourtage début mars et qu'il a intérêt à rembourser rapidement les 300 millions d'euros apportés par la Caisse des Dépôts et Consignations. Vendredi, Groupama et Allianz n'ont pas donné d'indication de prix.
« La solution Allianz nous va mieux qu'une reprise par un consortium avec des fonds d'investissements. Mais nous allons maintenant être très attentifs sur le volet social », prévient Martial Le Pennec, délégué syndical central CFDT. Plus de 640 alariés de GAN Eurocourtage seraient directement concernés par la cession de l'activité IARD.
Les courtiers, qui ont évidemment suivi de près les nombreux rebondissements de ce feuilleton au long cours, qui concerne un fournisseur important pour eux, sont aussi dans l'expectative. « Ce qui nous importe, c'est que l'on garde au final un guichet qui nous soit dédié, comme l'est GAN Eurocourtage avec une culture similaire vis-à-vis du courtage », souhaite Dominique Sizes, le président de la Chambre syndicale des courtiers d'assurances (CSCA).
Quant à l'activité transport de Groupama, qui a réalisé 326 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2011, elle semble, elle aussi, promise à la vente. La note du groupe mutualiste (BBB-chez Standard & Poor's, BBB chez Fitch) est en effet devenue trop pénalisante, lui faisant perdre des affaires.

Se rimborsassero il T1 sottoscritto dalla CDP, questo dovrebbe essere un coupon pusher per la 414 di Groupama, o sbaglio?
 

Zorba

Bos 4 Mod
Sempre su Groupama, qui c'è un riassunto delle attività in vendita.

(Reuters) - German insurer Allianz (ALVG.DE) has entered into exclusive talks on a possible acquisition of the brokerage business of French insurer Groupama's GAN Eurocourtage unit, the companies said on Friday.

The talks exclude GAN's transport insurance arm, the companies said, without elaborating or putting a value on the transaction.

The potential sale of the insurance broking business could lead to a break-up of GAN Eurocourtage as there is no plan yet for a sale of the business as a whole.

"They (Allianz) might not take over the legal entity," said a person familiar with the sale process. "Groupama accelerated the auction amid growing macro uncertainty."

Mutually-owned Groupama has come under pressure to sell assets after industry regulator Autorite de Controle Prudentiel urged the group to improve its solvency, badly affected by exposure to euro zone sovereign debt and volatile equities.

Allianz has come back into the frame in a last-minute twist, overtaking rival bidders that include a consortium of Swiss Re (SRENH.VX) and private equity firms Apax and PAI Partners, which had offered about 600 million euros for GAN Eurocourtage and were seen as frontrunners.

Allianz had always been a keen contender as it has circled insurance broker GAN Eurocourtage for years, people familiar with the situation said.

Allianz had first offered Groupama about 200 million euros for an unspecified part of GAN Eurocourtage and recently improved its offer, a person familiar with Groupama told Reuters on Monday.

Swiss Re could still be interested in the transport insurance business, a second person familiar with the process said.

A third consortium led by private equity firm Advent and including another reinsurer was also close to making an offer, the people said.

Groupama has told Reuters it hoped to sign a deal in May.

Any sale would only boost Groupama's solvency if the final price agreed by the buyer exceeded the equity value of the asset in question and reduced risk on the balance sheet, said Fitch analyst Marc-Philippe Julliard.

Groupama has reported a solvency margin of 107 percent, just above the minimum regulatory requirement. It is under negative credit watch by rating agency Fitch which rates the group BBB.

"On the positive side, it is now clear that Groupama's management's top priority is to put the company's finances back on track," said Julliard.

Groupama took a hit on its Greek debt holdings and already sold some of its stakes in listed companies to cut exposure to sovereign risk and market volatility.

It recently sold its entire 3.1 percent stake in media and transport investment group Bollore, the latest in a series of moves aimed at bolstering its finances.

It could also sell its 6.9 percent stake in Eiffage (FOUG.PA), according to the CEO of the French construction group, although a decision has yet to be made.

The mutual insurer also put its Spanish insurance business up for sale. This is worth about 500 million euros and is likely to attract buyers mainly from among Spanish insurance companies, the people said.

Groupama's Turkish insurance business could be the next asset on the block, the people said.

Although a formal sale has yet to start, Groupama has already received plenty of interest for the fast-growing business which could help it to raise an additional 300 million euros, the people said.
 

Cat XL

Shizuka Minamoto
Acque agitate in Generali

«Basta con i manager-finanzieri
E ora si cambi alle Generali»


Del Vecchio: le banche aiutino le imprese. Ma perché tutti quei fondi a Ligresti? Un miracolo l'impegno di Monti per il Paese




«Sono un po' a disagio. Sono azionista delle Generali con il 3%. Sono uscito dal consiglio perché non volevo litigare. Non con Geronzi. La sua uscita non contava e non è contata niente. Ma con il management. Il problema è che quando da assicuratori si vuole diventare finanzieri comprando partecipazioni le più disparate, non si fa un buon servizio alle Generali che restano una delle migliori aziende, se non la migliore, d'Italia. Purtroppo questo è un vizio nazionale. Tutti vogliono fare il mestiere di altri. Mentre questo è un periodo nel quale ognuno di noi dovrebbe pensare a fare bene il proprio dovere. Guardi cosa accade al governo. E' un miracolo che un uomo come Monti si stia impegnando per risanare il Paese. Eppure già c'è chi pensa di votare a ottobre, e sarebbe un disastro. O chi crede che lo spread sia ormai domato, mentre ci vuole un attimo che torni a 600». Leonardo Del Vecchio, classe 1935, ha creato dal niente una delle più belle aziende al mondo, la Luxottica. Studiata nelle università come caso imprenditoriale, ha sempre fatto lo stesso mestiere, costruire e distribuire occhiali.
«I miei investimenti nelle Generali o in Unicredit o in Foncière des Régions sono personali. Mi considero quindi un investitore e come tale credo che le Generali, uno dei fiori all'occhiello del Paese, abbiano bisogno di un cambio. L'amministratore delegato Perissinotto era il migliore assicuratore d'Italia e forse d'Europa».

Ma allora qual è il problema se Perissinotto è il migliore d'Europa?
«Il problema è quando si vuole fare finanza. Quando, usando i soldi dei risparmiatori che vorrebbero solo fossero ben gestiti, si comprano invece un pezzettino di Telecom e l'1% di una banca russa; si mettono a repentaglio oltre due miliardi con un altro finanziere come il ceco Kellner; oppure ci si impegna nell'operazione CityLife in una percentuale che nessun immobiliarista al mondo farebbe; e sui fondi greci sono stati persi 800 milioni. Penso quindi che oggi l'amministratore delegato, capo azienda unico, senza alibi di azionisti e presidenti, dovrebbe dare dignitosamente le dimissioni. Dovrebbe, sarebbe rispettoso verso gli investitori, gli azionisti e gli assicurati. So che in Italia questo non è uno sport nazionale, ma al suo posto non mi presenterei all'assemblea. Sono sicuro che ci sarebbe un'ovazione quasi scaligera».

Eppure la compagnia non soffre, i risultati operativi sono solidi anche in questa situazione...
«La parte assicurativa va bene, come le ho detto. Ma al mio amico Della Valle, che è così contento del management ma che non ha un'azione della compagnia, vorrei ricordare che in cinque anni il titolo ha perso i due terzi del suo valore. Dal primo gennaio è sotto del 12%, a confronto Allianz è sopra del 14%, in un anno il titolo ha perso il 34%. Dividendo quasi azzerato. Quello che mi dà fastidio è che i fondamentali sono buoni, l'attività assicurativa funziona. Ma voler fare i finanzieri è quello che rovina tutto. Stessa identica cosa accaduta in Unicredit. Una banca nella quale ho investito da oltre vent'anni».

Cosa c'entra Unicredit?
«E' lo stesso problema delle Generali. Fino a che ha fatto la banca è andata bene. Poi ha iniziato ad acquistare partecipazioni, ha voluto fare fusioni. Alessandro Profumo mi si è trasformato sotto gli occhi. Negli ultimi anni è cambiato. E' arrivata anche lì la finanza. Ed è andata come è andata. Io me le ricordo bene le banche che facevano il loro mestiere».
Ci sono allora istituti che aiutano le imprese...
«C'erano. Quando nel 1981 andai da Rondelli, all'epoca numero uno del Credito Italiano, per chiedergli di aiutarmi a crescere negli Stati Uniti comprando Avant Garde, non ebbe esitazioni. Esaminò il progetto, si fece illustrare i programmi e diede il via libera. Ma oggi nelle banche chi fa più questo mestiere? Lo chieda alle imprese, a una piccola azienda che vuole crescere, l'aiuto che riceve dalle banche».
Hanno ragione quindi a lamentare l'assenza di credito?
«Non si tratta di credito, si tratta di assistere le imprese. I primi anni che eravamo in America, appena ricevevamo un ordine la banca ci anticipava il 30-40% perché ovviamente passava del tempo prima di incassare. E il tutto avveniva a tassi decenti. Oggi c'è qualche istituto che lo fa? Guardate Fonsai come sta andando».

Sta andando che l'Antitrust ha bloccato l'operazione...
«Non conosco la vicenda, ma quello che mi chiedo è perché Mediobanca e Unicredit abbiano dato tutti quei soldi a Ligresti. Ma scusi, se fosse una buona azienda i francesi di Axa o Groupama si sarebbero fatti avanti per comprarla. E invece si procede a una fusione con due aumenti di capitale che mi fanno pensare che tra tre anni saranno ancora in difficoltà. E' questo che fa male all'Italia. Perché il nostro Paese funziona, funziona meglio di quanto si creda. Le imprese, le industrie girano».

Ma le statistiche raccontano un'altra Italia.
«Non sto dicendo che vada tutto bene, dico che il sistema produttivo funziona. Luxottica ha il 4% del fatturato che arriva dall'Italia. Ma sempre in Italia abbiamo il 60% della produzione, l'ingegneria, il design. Questo significa che qui si può produrre e si può essere competitivi. E come noi ci sono tante altre aziende, le faccio anche i nomi: Interpump, Brembo. Pensi a Tronchetti Provera».


Pirelli?
«Sì. Prima l'ha salvata. Poi, comprando Telecom, Pirelli s'è rovinata. Ma quando ha abbandonato le telecomunicazioni ed è tornato a fare solo pneumatici, l'ha nuovamente rilanciata. E guardi che con Tronchetti ho avuto parecchio da ridire. Ma il suo esempio vale per far capire che bisogna essere concentrati sul business, non farsi distrarre. In Italia siamo abilissimi a parlare d'altro. A quella povera ministro Fornero stanno facendo vedere l'inferno. E solo perché ha voluto ritoccare l'articolo 18 e fare le riforme delle quali questo Paese ha bisogno».

Sull'articolo 18 si sono messi a rischio persino dei governi.
«Ridicolo. Ne discutevo con il vicepresidente di Luxottica, Luigi Francavilla, che è con me dagli inizi. E' vero, a noi non interessa, dei nostri 62 mila dipendenti forse solo uno sarebbe stato licenziato. I partiti non se ne rendono conto, ma in Italia dobbiamo solo sperare che questo governo duri. E' un miracolo se ciò accade. Passera mi sembra già più politico, ma si capisce che le persone sono lì per governare».

Ma allora cos'è che non va?
«Quando le dicevo del credito, quella è una. Se vado in Francia con la mia società immobiliare i prestiti li ottengo con un differenziale dell'1,8%; in Italia, se mi va bene e se mi prestano dei soldi, siamo al 3,5%. Ripeto, se mi danno i soldi è perché mi chiamo Del Vecchio: pensi a una persona normale. Del resto abbiamo visto come funzionano le banche. I consigli d'amministrazione ratificano quello che decide il numero uno. Alle Generali l'amministratore delegato poteva disporre investimenti fino a 300 milioni, limite che ora hanno abbassato a 100, una cifra elevatissima comunque. Il nostro Andrea Guerra ha fatto crescere la Luxottica attraverso acquisizioni in tutto il mondo e gode della piena fiducia di tutti, in azienda e fuori. Eppure anche per spese di pochi milioni informa il consiglio, pretende che si discuta in più occasioni e che si sia convinti di ogni decisione».

Daniele Manca
 

Rottweiler

Forumer storico
Se rimborsassero il T1 sottoscritto dalla CDP, questo dovrebbe essere un coupon pusher per la 414 di Groupama, o sbaglio?

Sottile osservazione :up:, visto che la partecipazione di CDP è sotto forma di preferred shares.
E tuttavia sospetto che il pusher dipenda da come avverrà lo sganciamento di CDP: prima o dopo la vendita della partecipazione?
Visto l'appeal delle 2 T2 io mi metterei dalla parte della ragione. Ma per chi ama l'adrenalina e vuole a tutti i costi massimizzare il possibile gain...
 
Stato
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