Aviaria, primi riflessi sull'economia? (1 Viewer)

sharnin

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"Dès mardi, Bruxelles interdira l'importation de plumes non traitées de six pays voisins des zones touchées de l'est de la Turquie (Azerbaïdjan, Arménie, Géorgie, Syrie, Iran et Irak). La viande et tous les autres produits à base de volailles provenant de ces pays étaient déjà interdits. A ce propos, le gouvernement allemand a mis en garde lundi contre les transports illégaux de volailles en provenance de Turquie, en annonçant la plus grande sévérité à l'égard des contrevenants. Il a également appelé les touristes dans ce pays à éviter les marchés de volaille."

E c'è già chi sconsiglia viaggi in Turchia, Istambul compresa.
 

Run the Park

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I media dicono che i controlli in Cina sono scarsi, e nonostante questo ci sono stati solo 8 casi di contagio. Con più di un miliardo di persone di popolazione, non mi sembra sconvolgente.

O ci nascondono le reali dimensioni del fenomeno oppure la cosa è stata pompata ad arte... opinioni?
 

sharnin

Forumer attivo
Run the Park ha scritto:
I media dicono che i controlli in Cina sono scarsi, e nonostante questo ci sono stati solo 8 casi di contagio. Con più di un miliardo di persone di popolazione, non mi sembra sconvolgente.

O ci nascondono le reali dimensioni del fenomeno oppure la cosa è stata pompata ad arte... opinioni?

- I dati forniti dal governo cinese, soprattutto per quanto attiene le zone interne del paese, non sono controllabili.

- Nell'ambiente dei virologi si dice che in Cina erano stati accertati in realtà oltre 25.000 morti per Sars, mentre, pubblicamente, la Cina, disse che i morti erano meno di mille nell'intero anno (2004)

- "Nel Guangdong, nella Cina meridionale, sono disseminate piccole fattorie con maiali che vivono all’aperto, polli e anatre che vanno in giro, il perfetto “sistema ecologico – osserva Paul Chan, microbiologo presso l’università della Cina – per l’emergere di nuove malattie”.
Altri esperti rilevano che nelle zone rurali cinesi manca una seria assistenza medica. I contadini malati evitano di recarsi presso gli ospedali e i medici specialisti, sia perché si trovano solo in città sia perché debbono pagare ogni visita e medicina, con costi molto superiori alle loro possibilità."

- "A luglio Yi Guan, leader del team di ricercatori di Hong Kong famoso in tutto il mondo che si occupa dell'influenza aviaria e combatte la minaccia della pandemia sin dal 1997, ha denunciato sul Guardian di Londra l'atteggiamento apatico mostrato dalle autorità cinesi nei confronti della conflagrazione biologica del lago Qinghai. «Non hanno preso quasi nessun provvedimento. Avrebbero dovuto chiedere il sostegno internazionale. Quegli uccelli andranno in India e in Bangladesh, e poi incontreranno altri uccelli provenienti dall'Europa». In un articolo pubblicato da Nature, Yi Guan e i suoi colleghi hanno anche rivelato che il ceppo di Qinghai probabilmente derivava da recenti episodi di influenza aviaria, non denunciati ufficialmente, tra gli uccelli della Cina meridionale. Questo ha confermato i sospetti che le autorità cinesi stessero continuando a nascondere al resto del mondo i focolai della malattia; in passato, avevano anche mentito sulla natura e sull'estensione dell'epidemia di Sars del 2003.
Come nel caso di allarmi lanciati in precedenza e relativi alla Sars, la burocrazia ha immediatamente preso provvedimenti contro Yi Guan per la sua onestà scientifica, chiudendo uno dei suoi laboratori alla Shantou University e armando il ministero dell'agricoltura, conservatore, di nuovi poteri di controllo sulla ricerca di base."

La cosa non è pompata, perchè al di là della Roche, il mondo economico non ha nessun interesse a sottolineare la cosa.
I dati della Turchia sono probabilmente solo più sinceri di quelli asiatici.

Per ora siamo sempre nel campo dell'epidemia animale, ma anche questa ha dei riflessi economici. Poi, più si diffonde l'epidemia animale, più aumenta il pericolo di "adattamento" del virus alla specie umana.
 

sharnin

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L'OMS tente de savoir pourquoi la grippe aviaire s'est propagée si vite parmi les humains en Turquie

GENEVE (AP) - La vitesse de transmission de la souche mortelle H5N1 du virus de la grippe aviaire des animaux aux hommes en Turquie inquiète l'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui se penche actuellement sur la question.

Selon l'OMS, 15 cas humains ont été constatés en Turquie en une semaine, ce qui représente plus que la Chine (8 cas) et le Cambodge (4) réunis. L'Indonésie a rapporté 16 cas, mais depuis juillet dernier, et la Thaïlande compte 22 cas depuis 2003.

"Cela est sans précédent", constate la porte-parole de l'OMS, Maria Cheng.

Le responsable de la mission de l'OMS en Turquie, Guenaël Rodier, précise qu'il ne soupçonne rien d'"étrange", mais qu'il se demande tout de même si "nous avons affaire à une transmission plus efficace des animaux à l'homme".

"C'est une question ouverte. Je n'ai pas de réponse à cela", a-t-il déclaré lors d'une conférence téléphonique.

M. Rodier a précisé qu'il fallait encore beaucoup de travaux avant de pouvoir déterminer s'il y a eu des changements dans le mode de transmission ou dans la composition du virus lui-même. Mais il soupçonne une altération génétique du virus, dont l'importance pourrait être évaluée dans quelques semaines.

Les experts craignent qu'une mutation du virus puisse mener à la transmission inter-humaine. Mais pour l'instant, rien ne laisse penser que la transmission se soit faite d'humain à humain, et "nous avons affaire à une situation similaire à celle que nous avons vue en Asie", a souligné M. Rodier.

"En pratique, cela veut dire un certain nombre de petits sites, des petits foyers de maladie autour de familles concernant beaucoup d'enfants et toujours avec un contact étroit avec des oiseaux infectés, typiquement des volailles de basse-cour, en particulier des poulets qui pourraient être morts ou malades", a expliqué M. Rodier.

Il a précisé qu'il n'était pas surprenant que les enfants soient plus vulnérables au virus que les adultes, étant donné qu'ils présentent une résistance immunitaire moindre et qu'il est plus que probable qu'ils jouent avec des poulets malades.

Trois enfants turcs âgés de 11 à 15 ont perdu la vie ces derniers jours après avoir contracté le virus. M. Rodier a annoncé que l'OMS et le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) essayaient en ce moment de développer une stratégie de prévention plus efficace auprès des enfants.

"Nous avons peut-être besoin de cibler les messages sur les enfants en particulier, et probablement leurs mères", a-t-il estimé. AP

***

Les autorités turques font face à de virulentes critiques sur leur gestion de la grippe aviaire

"On veut des docteurs !" Le ministre turc de la santé, Recep Akdag, ne s'attendait pas à pareil accueil, lundi 9 janvier à Dogubeyazit. Accompagné d'une délégation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), il était en visite dans la petite ville de l'est de la Turquie où trois enfants sont morts la semaine dernière, dont deux avaient de manière certaine contracté la forme humaine de la grippe aviaire. Il a été pris à partie par les villageois mécontents de leur sort.

Paradant devant les journalistes, le ministre, protégé par des véhicules blindés et des gendarmes armés, est allé présenter ses condoléances au père des enfants décédés. Il a promis un nouvel hôpital à la population médusée. "Allez dans nos villages où les poulets meurent et où personne ne met les pieds", lui ont lancé quelques manifestants, ivres de désespoir. Le ministre a dû battre en retraite.

Cette contrée montagneuse et reculée, peuplée en grande partie de Kurdes, se sent délaissée par les autorités du pays depuis que le virus H5N1 y a fait son apparition. Le gouvernement est accusé de lenteurs et de négligences qui auraient favorisé une propagation aussi rapide de la maladie. Celle-ci a été diagnostiquée chez 12 autres personnes (dont 11 enfants) toujours hospitalisées et plusieurs dizaines de cas attendent encore des analyses définitives. Surtout, de nouvelles régions rurales ont été gagnées : 15 provinces sur 81 sont concernées par la grippe aviaire. Des foyers ont été identifiés jusqu'à Istanbul, où des poulets infectés ont été découverts dans l'arrondissement pauvre de Küçükçekmece.

"PNEUMONIE"

Le chef de la délégation de l'OMS qui se trouve dans le pays depuis dimanche 8 janvier, Guénael Rodier, a estimé que "sur le plan de la santé humaine la prise en charge de la crise est bonne", imité par la Commission européenne, pour qui "les autorités turques ont pris les mesures nécessaires". Un discours rassurant. L'équipe de l'OMS devait se rendre à Ankara mardi 10 janvier pour soutenir la cellule de crise mise en place par le gouvernement. Une initiative des autorités que beaucoup trouvent tardive. Et les critiques continuent de fuser à l'encontre des dirigeants turcs qui après l'apparition du premier cas, avaient d'abord parlé de "pneumonie". Pour l'Union des vétérinaires, le gouvernement a fait preuve de "lassitude" face à l'épizootie.

La presse affirme que plusieurs alertes ont été sous-estimées au cours des deux derniers mois. Les résultats de tests ont parfois mis plus d'un mois à être officialisés. La grippe aviaire pourrait donc être plus répandue encore. Le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, a appelé ses compatriotes à livrer leurs poulets malades et a demandé aux imams de prêcher de justes informations sur les moyens de se prémunir.

Dans les montagnes de Dogubeyazit comme dans les bidonvilles d'Istanbul, les poulets rentrent dans les maisons et vivent au milieu des familles les plus pauvres. Les enfants qui côtoient les bêtes sont particulièrement exposés. Certains villages reculés n'ont toujours pas été atteints par les services vétérinaires. Des brochures d'information ont été distribuées à travers les campagnes mais, dans cette région située à 800 km d'Ankara, à forte proportion de Kurdes, beaucoup ne parlent pas turc.

Le dispositif mis en place semble bien fragile. La vente d'oeufs au détail a été interdite et plusieurs marchés aux volailles ont été fermés. A Istanbul, les poulets doivent être éliminés dans quelques quartiers populaires. Pour autant, la mégapole ne semble pas gagnée par la panique. Bayram, la fête du mouton, commence en Turquie, et le mouton, lui, ne présente aucun danger.

Guillaume Perrier
Article paru dans l'édition du 11.01.06
 

generali1984

Forumer storico
Oggi ho brutalmente soppresso le mie galline ,
che devo dire , a me avere l'ovetto fresco o no non mi cambia la vita ,
ma per chi vive in zone rurali estreme e sottosviluppate ,
una decina di galline fanno una gran differenza , sarà molto difficile
far comprendere a poveri contadini che è meglio soffrire la fame
che contrarre il virus .
speriamo bene
 

sharnin

Forumer attivo
generali1984 ha scritto:
Oggi ho brutalmente soppresso le mie galline ,
che devo dire , a me avere l'ovetto fresco o no non mi cambia la vita ,
ma per chi vive in zone rurali estreme e sottosviluppate ,
una decina di galline fanno una gran differenza , sarà molto difficile
far comprendere a poveri contadini che è meglio soffrire la fame
che contrarre il virus .
speriamo bene

In Italia? Follia! Qui la malattia non è arrivata, i controlli sono seri e il livello di igiene è da paese sviluppato.
Ci manca anche la psicosi!
Se proprio sei in una zona sorvolata da uccelli migratori (ma non è più tempo di migrazioni) bastava la precauzione di tenere le tue galline al chiuso.

Il livello di attenzione serve ad evitare il contagio dei nostri polli, soprattutto, oggi, controllando le importazioni di materiale avicolo non disinfettato, magari di contrabbando. E anche se i piccoli allevamenti non hanno il veterinario proprio basta qualche precauzione, se proprio si ha paura, non c'è nessun motivo di sopprimere i polli ruspanti.
Poi quando gli animali sono ammalati si vede!
 

sharnin

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La grippe aviaire sème le désarroi dans l'est de la Turquie

Quelques hommes portent un masque de chirurgien et les femmes ont rabattu leur voile pour se couvrir le nez et la bouche. Dans les couloirs décrépis de l'hôpital de Van, des familles angoissées déambulent, interrogent infirmiers, policiers ou journalistes, à la recherche d'informations sur leurs proches.
Certains parents commencent à désespérer. "Cela fait cinq jours que je dors là, dans le couloir", montre Celal, un père de famille venu de Bitlis, située à deux bonnes heures de Van (Est). "Nous avons mangé du poulet malade. Ma femme et mes quatre enfants sont en observation, et je n'ai pas encore pu obtenir la moindre nouvelle : les docteurs attendent les résultats des échantillons", explique-t-il.
C'est dans cette ville de la Turquie orientale, ancienne capitale arménienne, au coeur d'une région peuplée en majorité de Kurdes, que sont regroupés la plupart des malades de la grippe aviaire diagnostiqués en Turquie. C'est là aussi que sont décédés les enfants Kocyigit, trois membres d'une fratrie de Dogubeyazit. Deux étaient porteurs du virus H5N1 et sont toujours les seules victimes officielles du pays. "A ce jour, nous avons 36 personnes hospitalisées avec des symptômes grippaux : 17 enfants et 9 adultes, détaille Huseyin Avni Sahin, directeur de l'établissement : leur état de santé s'améliore, même s'il reste préoccupant pour trois d'entre eux. Mais je m'attends à de nouveaux cas dans les prochains jours." L'hôpital a reçu, dès les premiers jours de la crise, des stocks de masques et de gants ainsi que des boîtes de Tamiflu. Dix-sept patients ont pu rentrer chez eux après avoir été testés négatifs. A écouter la version des autorités locales et de la gendarmerie, la situation est sous contrôle. L'hôpital universitaire de Van n'a pourtant rien de rassurant. "Nous manquons d'équipements, de personnel formé à la pédiatrie. Mais c'est le seul hôpital digne de ce nom dans toute la région", déplore Huseyin Avni Sahin.

ALERTES SANS SUITE

Le gouvernement turc est accusé de négligences et aurait tardé à réagir face à la propagation du virus de la grippe aviaire. Plusieurs alertes seraient notamment restées sans suite. Pour ne rien arranger, à cette époque de l'année, un épais manteau neigeux et un froid sibérien recouvrent toutes les provinces orientales de la Turquie. Les conditions climatiques gênent encore un peu plus le travail des services vétérinaires et des médecins. "Nous envoyons les échantillons à analyser à Ankara ou à Istanbul, explique le directeur de l'hôpital. Cela peut prendre de un à sept jours avant de recevoir les résultats. Il nous faudrait un laboratoire ici, dans la région." Il a fait part de cette requête à la délégation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), venue lui rendre visite lundi.
La plupart des victimes sont originaires des environs de Van et, surtout, de Dogubeyazit, étape de l'ancienne Route de la soie, située à trois heures de la frontière iranienne. Dans cette contrée pauvre et enclavée, des volailles courent encore dans les rues ou les maisons, une semaine après le début de l'abattage des poulets. Plus de 20 000 volailles ont tout de même été tuées, mais certains hameaux isolés, difficilement accessibles, n'ont toujours vu personne leur venir en aide.
Dans ces villages, les enfants sont traditionnellement affectés aux poulaillers. Leur tâche est de ramasser les oeufs, de nourrir les volailles et de vider les poulets. Pour Huseyin Avnin Sahin, cela explique qu'ils soient les premières victimes de l'épidémie qui frappe la Turquie. "Jusqu'à preuve du contraire, la transmission de l'homme à l'homme ne s'est jamais produite. C'est le contact prolongé avec les bêtes malades qui transmet le virus."

Guillaume Perrier
(Le Monde)
 

sharnin

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Mutazioni genetiche in un virus turco
Permetterebbero al virus di infettare in modo più diretto gli esseri umani, sono state però riscontrate solo su un campione isolato

Londra, 12 Gennaio 2006 - Le analisi effettuate sui campioni di virus H5N1 tratti da due delle vittime dell'influenza aviaria in Turchia mostrano che uno dei geni dell'agente patogeno risulta mutato rispetto allo schema genetico già noto. E' troppo presto, tuttavia per capire se la mutazione si significativa. Lo ha riferito oggi l'Organizzazione mondiale della sanità.
La mutazione permette al virus di collegarsi più facilmente a una cellula umana. Questo significa che l'agente patogeno si sta spostando verso una forma capace di infettare in modo più diretto gli esseri umani. Non è chiaro, tuttavia, quando la mutazione abbia avuto luogo.
"Secondo noi, si tratta di un piccolo passo compiuto dal virus verso un maggiore adattamento gli umani", ha detto il virologo dell'Oms Mike Perdue. "Ma la mutazione è stata riscontrata soltanto in un campione isolato, ed è presto per trarre conclusioni. Dobbiamo apettare e constatareche cosa si sia verificato negli altri campioni provenienti dalla Turchia".


Aviaria, virus si sta evolvendo secondo test genetici
giovedì, 12 gennaio 2006 10.33 []
di Maggie Fox

WASHINGTON (Reuters) - Test genetici su campioni prelevati da vittime della febbre aviaria in Turchia hanno mostrato leggere mutazioni probabilmente non ancora sufficienti a rendere il virus più pericoloso, hanno detto oggi dei ricercatori.
La mutazione è prevedibile in un virus che si modifica rapidamente, dicono gli esperti, e viene considerata uno dei segnali che può precedere una pandemia.
L'influenza aviaria H5N1 ha causato la morte di tre bambini e contagiato in totale 18 persone in Turchia, oltre ad essere stata riscontrata in allevamenti di pollame, secondo quanto riferiscono le autorità turche.
Globalmente ha contagiato 147 persone e ne ha uccise 78, secondo il bilancio fornito dalla Organizzazione mondiale della sanità, che considera solo quattro dei casi turchi.
Gli scienziati stanno osservando attentamente il virus per vedere se muta tanto da diventare contagioso da persona a persona, fattore che potrebbe innescare una pandemia in grado di uccidere milioni di persone. I campioni prelevati dalle prime due vittime turche sono stati inviati ad un laboratorio affiliato all'Oms in Gran Bretagna per analisi.
Sono stati riscontrati due diversi ceppi del virus nei corpi delle vittime adolescenti, ha detto il dottor Ruben Doris, leader del team di genetica molecolare che studia l'influenza, nel Centro Usa per il controllo e la prevenzione delle malattie.
"Uno era un virus regolare come ne abbiamo visti in precedenza nel pollame turco -- e fin qui nessuna sorpresa", ha detto Donis in un'intervista telefonica.
Ma metà dei virus hanno presentato una mutazione in una proteina chiamata emoaglutinina, che i virus influenzali utlizzano per attaccare le cellule infette.
Guenael Rodier, capo del team dell'Oms in Turchia, ha detto che non ci sono prove di una mutazione della patogenicità o della capacità di contagio del virus.
"In termini locali (in Turchia) non è troppo preoccupante", ha detto Rodier in un'intervista. "Non prevediamo un'esplosione".
La variante asiatica del virus H5N1 resta attualmente un virus che colpisce i volatili. Tutti i virus influenzali però mutano e si evolvono facilmente, causando pandemie che si diffondono nel mondo.

© Reuters 2006
 

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