NicOx.... in attesa di..... (4 lettori)

Zohar

Forumer storico
:up::up::up::up::up:
CT...
ormai prevale la tattica e l'aggressività...
ma proprio per questo la differenza la fa la qualità assoluta..

per sharma... dispiace anche a me.. è veramente 1 tosto... ma purtroppo non serve più (sarebbe rimasto in panchina oppure utilizzato in un ruolo non suo) è uno specialista di lancio di prodotti farmaceutici.. credo che e il naproxcinod andrà sul mercato sarà con un partner...

Infatti negli USA Nicox senza Bihìg Pharma USA non entra proprio ...

A questo punto tutto lo staff USA non serve.

Lo straniero negli USA NON passa ... però se il prodotto vale, in EMEA dovrebbe passare, diversamente il Naproxcinod non varrebbe una cicca.
 

Zohar

Forumer storico
Ognuno si faccia la propria opinione ...

Robert Kerns, Ph.D.
Professor of Psychiatry, Neurology and
Psychology, Yale University
West Haven, CT

qui etait au comité consultatif de NICOX

Yale and Pfizer Launch Visiting Professorship Pilot Program
traduc debut du texte
Yale et le lancement du Programme pilote Pfizer visite de professeur
Publié le: 29 Novembre, 2004

New Haven, Connecticut - Yale School of Medicine et de Pfizer Global Research ont lancé un programme pilote visant à accroître les interactions scientifiques entre Pfizer et Yale.

Le programme prévoit également la faculté de Yale avec une meilleure compréhension du processus de découverte de médicaments afin de conseiller ses étudiants plus efficacement sur les possibilités de carrière dans l'industrie pharmaceutique.

Ce roman a été professeur visitant le programme élaboré et parrainé par Pfizer Laboratories Découverte à Groton, le Réseau des femmes dirigeantes au sein de Pfizer et le Bureau des femmes en médecine à Yale.

La première chaire de visite a été attribué à Yale chercheur Nita Maihle, qui vont passer 12 semaines de travail avec l'équipe de recherche chez Pfizer Global Research and Development, Groton / New London Labs. Maihle, professeur au Département d'obstétrique et de gynécologie et de sciences de la reproduction, seront jumelés à un collaborateur scientifique Pfizer.

«Je suis reconnaissant pour cette opportunité et nous nous réjouissons à l'amélioration de mon propre programme de recherche et de faciliter les associations entre les chercheurs et le personnel d'autres Yale Pfizer", a déclaré Maihle, qui est également affilié à la Yale Center Cancer et est professeur aux départements de pathologie et de pharmacologie à Yale.

"La vision du programme est d'améliorer la compréhension scientifique entre Pfizer et de Yale, et nous avons déjà vu comment cette interaction bénéfique peut être", a déclaré Karen Houseknecht, un chercheur de Pfizer et président de la Women's Leadership Network. "Dr Maihle apporte non seulement son expertise scientifique dans nos laboratoires, mais elle sert également de modèle pour les femmes dans la science, qui est quelque chose que nous apprécions chez Pfizer.
 
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tradermen

Forumer storico
En 2010, force est de constater qu'il y a beaucoup de déception sur les biotechs, en particulier pour ce qui concerne les partenariats. D'après un analyste de la société d'investissement CMCIC-Securities, «nombre de biotechs étaient à l'aube d'un partenariat, et finalement, elles se sont fait retoquer, soit parce que le produit n'était pas terrible, soit parce que le partenariat n'était pas de la qualité que certains analystes attendaient.»
En termes de produits, l'exemple de NicOx est édifiant : son produit phare a en effet été rejeté aux Etats-Unis par la FDA, cette dernière estimant qu'il ne répondait pas aux conditions de sécurité lui permettant d'être enregistré. De nouvelles études cliniques vont donc être nécessaires, remettant en avant la problématique du cash. Les investisseurs savent donc qu'il va falloir à nouveau attendre deux années supplémentaires avec une nouvelle levée de fonds avant d'avoir éventuellement un accord de partenariat.
Quant aux partenariats moins bons qu'escomptés noués avec des biotechs, il s'avère que les Big Pharmas donnent aujourd'hui l'impression de prendre encore moins de risque qu'avant, même si elles ont toujours de l'argent. Auparavant en effet, le schéma classique se découpait en trois étapes: «upfront, milestone, royalties». Or on a maintenant l'«option de licence» qui vient s'intercaler. Autrement dit, les Big Pharmas ne donnent plus que le quart de ce quelle devait apporter pour l'upfront, en attendant une nouvelle étude clinique pour valider les données obtenues lors de la phase I ou II. C'est typiquement ce qui s'est produit avec Transgène et Novartis.
Si le projet abouti, tout le monde sera gagnant, la biotech pouvant ainsi toucher une part de royalties plus importante. Mais c'est aussi, pour elle, un niveau de risque plus grand à supporter. En 2009, il y a eu plusieurs acquisitions de biotechs par des Big Pharmas, on pensait donc que le prix n'était pas un problème. En 2010 toutefois, à en croire l'analyste, «on s'aperçoit que même pour des petites sommes, au regard du cash flow que peut dégager une Big Pharma, les grands laboratoires veulent prendre le moins de risque possible, ce qui n'était pas le cas avant.»

Sur quelles valeurs miser ?

Dans ce contexte, toujours selon l'analyste de CMCIC-Securities, deux valeurs françaises pourraient faire l'objet d'un investissement pertinent, l'une d'elle étant plutôt «challenging» tandis que l'autre a davantage un profil «défensif». il s'agit de Transgène et de BioAlliance.
BioAlliance possède déjà des produits enregistrés, «ils font plutôt de l'optimisation de formulation que de la recherche, mais ils commencent à délivrer et vont donc bientôt recevoir des revenus de leurs différents partenariats, que ce soit aux Etats-Unis ou en Europe, ce qui leur permettra d'enrichir encore leur pipeline de produits.»
Quant à Transgène qui vise des traitements contre le cancer du colon, l'analyste estime que la société est bien positionnée, malgré un profil un peu plus «challenging». Pour lui, Transgène pourrait idéalement connaître le même destin que la société américaine Dendreon qui a réussi à sortir un produit pour le traitement du cancer de la prostate, faisant passer sa valorisation de 500 millions à 5 milliards de dollars en trois mois…

Nicolas Sandanassamy
Publié le 13 septembre 2010
 

Zohar

Forumer storico
Biotech: une tendance se dessine

(Easybourse.com) Avec l'arrivée massive de médicaments génériques, les bouleversements démographiques, la hausse des dépenses de santé et l'émergence de nouveaux marchés, les sociétés du secteur de la santé et des sciences de la vie doivent faire face à de nombreux changements. Face à ces défis, les grands groupes pharmaceutiques cherchent un nouveau souffle dans les sociétés de biotechnologie. A l'instar de Sanofi-Aventis avec la biotech Genzyme, les fusions-acquisitions et les alliances stratégiques se multiplient donc, poussant les biotechs et les grands acteurs du secteur à repenser leur stratégie pour assurer leur rentabilité, dans un contexte de ralentissement économique qui dure…


..Selon les données du LEEM [Les Entreprises du Médicament est un regroupement 300 sociétés françaises du secteur de la santé], l'année 2009 s'est caractérisée par une croissance faible du chiffre d'affaires des entreprises du médicament en France, de l'ordre de 2,7% soit 26,9 milliards d'euros, principalement sous l'effet de la concurrence accrue des génériques, dont le marché a fortement progressé en un an, de 12,4% en valeur et de 7,6% en volume. Quant aux prévisions de chiffre d'affaires pour 2010, si elles font état d'une croissance plus soutenue (+4,5% sur les médicaments remboursables et non remboursables), le LEEM observe également, dans son «Bilan économique 2009 des entreprises du médicament en France», que «le secteur est confronté, depuis plusieurs années, à une mutation profonde de son modèle économique.»

Big Pharmas versus Biotechs ?

Ces données, qui illustrent les changements en cours depuis plusieurs années dans le secteur de la santé et des sciences de la vie, montrent que l'industrie du médicament doit faire face à un contexte rendu toujours plus difficile. Outre le développement du marché des génériques et la fin des brevets, les entreprises pharmaceutiques doivent en effet faire face à la hausse continue des besoins en financement de R&D, à la sévérité accrue d'accès au marché et de compétition entre les Etats, qu'exacerbe depuis deux ans la crise économique et financière. En résumé et comme le constate le LEEM, s'agissant des blockbusters [médicaments à très fort succès commercial. A titre d'exemple, le Lipitor, l'anti-cholestérol de Pfizer, génère entre 12 et 13 Mds de dollars de revenus annuels], ces derniers laissent progressivement la place à de nouveaux segments de marché en croissance : principalement les génériques, les produits d'automédication, mais aussi et surtout les produits issus de biotechnologies, souvent en milieu hospitalier et dont «les cibles thérapeutiques sont plus étroites».

Ainsi que le note un analyste d'Arkeon Finance, une entreprise d'investissement, «beaucoup de laboratoires sont aujourd'hui confrontés à la concurrence des génériques, et sont donc dans l'obligation de lancer des programmes de recherche sur de nouvelles molécules de manière assez rapide pour avoir de nouveaux relais de croissance.»

A l'heure actuelle, étant donné le coût exponentiel de la recherche, les grands laboratoires doivent avoir une gestion de leurs dépenses plus fines. D'abord, pour descendre les brevets sur les molécules existantes, et pour intensifier aussi leurs dépenses marketing sur leurs blockbusters. Or, selon l'analyste d'Arkeon Finance, «le chemin le plus rapide pour enrichir le pipeline de produits consiste finalement à acquérir des sociétés biotechnologiques qui ont su développer un vrai savoir technologique».

Le big appétit des Big Pharmas

Le cas récent de Sanofi-Aventis qui tente d'acquérir la biotech Genzyme est de ce point de vue symptomatique de cette tendance structurelle qui traverse le secteur. Ainsi, pour la Big Pharma française, de même que pour Pfizer, Merck & Co, Roche ou encore GlaxoSmithKline, Genzyme représente une solution à l'expiration des brevets de leurs principaux médicaments à l'horizon 2010-2012, ce qui explique le prix exorbitant que Sanofi-Aventis est prêt à débourser (18,5 milliards d'euros pour l'instant).

De cette manière, les Big Pharmas pourront avoir plusieurs cordes à leur arc, avec d'un côté leurs traitements blockbusters, qui continueraient à exister et à se développer jusqu'à le fin de leurs brevets. De l'autre côté, les grands laboratoires seront obligés d'aller chercher des produits de plus en plus dédiés à des maladies rares ou de niches, qui sont davantage prescrits par les médecins hospitaliers. Les avantages sont multiples. En effet, dans le cas par exemple des anticorps monoclonaux, le traitement se fait à l'hôpital, sous chimiothérapie. Il s'agit donc de traitement coûteux, à hauteur de plusieurs dizaines de milliers d'euros par an, voire de beaucoup plus, qui ne sont pas concurrencés par les génériques.

Il apparait donc «plus rentable d'aller acheter des sociétés de biotechnologie qui ont dans leur pipeline ce type de molécules, parce qu'il y a un rapport prix/recherche très avantageux» souligne l'analyste d'Arkeon Finance.

Investissements en berne

Preuve de l'engouement pour les biotechs, leurs aînées Big Pharmas se sont engagées aux côtés du secteur public français, lors du dernier Conseil stratégique des industries de la santé (CSIS), à contribuer majoritairement à un nouveau fonds d'investissement dans le domaine de la santé, InnoBio, doté de 139 millions d'euros. Ce qui soulève deux points. D'une part, il apparaît que ce fonds étant financé à 63% par les grands acteurs de la pharmacie, se pose la question du conflit d'intérêt. D'autre part, malgré le montant de la dotation, il n'en reste pas moins vrai que les besoins en financement sont encore énormes et insuffisamment comblés par les investissements privés. Ce qui explique d'ailleurs la multiplication des mesures incitatives en faveur de l'innovation en France (Crédit Impôt-recherche, JEI, etc.).

A en croire France Biotech, l'association française des entreprises de biotechnologie, le montant total des investissements des capitaux-risqueurs a chuté de 56% entre 2008 et 2009, pour atteindre 65 millions d'euros l'an dernier contre 151 millions en 2008. En cause, principalement, les effets de la crise de ces deux dernières années qui ont provoqué une chute record des investissements. Au total, note l'association dans son rapport annuel sur la situation du secteur, «en 2009, la fenêtre boursière est restée complètement fermée», malgré des levées de fonds réussies pour Cellectis, Exonhit Thérapeutics, NicOx et Innate Pharma.
Dans le détail, suite au déclin des valeurs boursières en 2008, le nombre de sociétés financées par capital risque a connu une chute de 8% en 2009, soit une baisse de 24% entre 2007 et 2009.

Au final, la tendance est donc structurelle. Le modèle économique restera ce qu'il est en tant que tel, c'est-à-dire que les grands groupes pharmaceutiques auront toujours une force commerciale importante pour aller cibler les médecins et vendre leurs blockbusters traditionnels. En dehors de ça, les grands groupes afficheront de plus en plus leur volonté de se doter de traitements biologiques pour justement bénéficier d'un prix plus important en termes de ventes de médicaments, et d'autre part, pour profiter de l'absence du risque générique et de celui inhérent à toute recherche de pointe.

Nicolas Sandanassamy
Publié le 13 septembre 2010
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viralic

Forumer storico
Viene confermata da fonti vicine alla società la notizia che Sharma non è più con Nicox dal 31 agosto , data di chiusura della filiale americana, insieme a tutti gli altri impiegati che lavoravano alla filiale stessa.
Nicox si sta prodigando al fine di trovare a tutti loro una nuova occupazione.
 

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