Titoli di Stato area Euro GRECIA Operativo titoli di stato - Cap. 1

Stato
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Tommy è il massimo

Mi piacciono i tuoi riassunti Porcospino:up:, quasi meglio di quelli di Tommy :p(non me ne voglia) piu pratici e veloci da leggere quando ce n'è bisogno.....:D;):up:

Tommy è il massimo. Comq, sono felice se sono utile; quando c'è lui non c'è bisogno di molto di più.

Giusto per strafare, un articolo da Le Monde lungo ma molto significativo sulle divisioni tra Francia e Germania che portano alla paralisi dell'Europa, poi me ne sto buono, buono.


Les propositions d'Angela Merkel et de Nicolas Sarkozy pour sauver l'euro
Défendre la zone euro en danger, alors que la crise grecque menace de s'étendre au Portugal et à l'Espagne : Angela Merkel et Nicolas Sarkozy font front commun, à la veille du sommet de la zone euro du vendredi 7 mai.
Ils ont envoyé, jeudi, une lettre commune au président du Conseil européen, Herman Van Rompuy et au président de la Commission, José Manuel Barroso. Silencieuse sur les désaccords, notamment sur la possibilité de laisser un Etat de la zone faire faillite ou restructurer sa dette, l'initiative refonde un socle commun minimal et demande l'approfondissement des règles de gouvernance économique de la zone euro.
La lettre commence par exclure l'idée d'expulser un Etat membre de l'union monétaire, les deux dirigeants se disant "pleinement attachés" à préserver "l'unité de la zone euro".
Ensuite, elle précise que la monnaie unique est une affaire commune et qu'il n'est plus question de laisser chacun gérer ses petites affaires seul. "Tous les Etats membres sont responsables de la stabilité de la zone euro dans son ensemble."
Car, sur le fond, jamais la chancelière allemande et le président français n'ont été autant en désaccord : M. Sarkozy voulait intervenir vite et fort, décelant une attaque des spéculateurs. Mme Merkel, face à son opinion publique, voulait punir les Grecs, coupables de mensonges et de laxisme budgétaire, et respecter les traités.
"UN CADRE ROBUSTE"
Jamais les deux dirigeants n'ont fait autant d'efforts pour éviter les déchirements publics. Il faut trouver les moyens d'éviter que la crise grecque ne se reproduise.
M. Sarkozy et Mme Merkel veulent que le conseil des dirigeants de la zone euro qui se réunissent le 7 mai à Bruxelles conduise à un renforcement de la gouvernance économique de la zone. Ils proposent de créer "un cadre robuste pour la résolution des crises respectant le principe de responsabilité budgétaire de chaque Etat membre".
Traduit par l'Elysée, les Européens doivent trouver un moyen de contourner l'interdiction faite par les traités de renflouer un Etat en faillite. Pour sauver la Grèce, les Etats ont eu recours à des aides bilatérales. Les Allemands avaient besoin juridiquement de l'intervention du FMI, attestant de l'urgence extrême de la crise, pour justifier face à leur Cour constitutionnelle la nécessité d'intervenir. Il faudrait donc, comme l'avait proposé le ministre des finances allemand Wolfgang Schäuble, imaginer un "fonds monétaire européen".
Rien n'est dit en revanche sur la possibilité de laisser un Etat de la zone euro faire faillite ou restructurer pleinement sa dette. "Ce n'est pas l'objet de cette lettre", explique l'Elysée. Sur ce point, le désaccord franco-allemand est profond. M. Sarkozy refuse toute idée de défaut de paiement, qui provoquerait selon lui au niveau des Etats un cataclysme comparable à celui de la faillite de la banque d'affaire américaine Lehman Brothers. Ce serait aussi une énorme catastrophe pour les banques françaises, particulièrement exposées en Grèce et en Europe du sud.
RÉFORME DES TRAITÉS
Devant le Bundestag, mercredi, Mme Merkel a dit vouloir "élaborer une procédure codifiée de défaut de paiement".
La chancelière a aussi expliqué qu'elle s'engageait "avec force" pour une réforme des traités, même si elle est "longue et laborieuse". Les Français sont dubitatifs sur l'idée de réformer le traité de Lisbonne. Il faudrait revisiter toute l'union économique et monétaire, concoctée dans une période libérale, celle des années 1990, et la faire ratifier par 27 Etats membres.
Il serait plus simple de revoir le pacte de stabilité, qui régit le fonctionnement de l'euro. "Nous ne sommes pas hostiles à un changement du pacte de stabilité", explique l'Elysée. Rédigé en terme franco-allemand, le texte demande "des sanctions plus efficaces pour les procédures de déficits excessifs".
Les procédures de sanctions inscrites dans le pacte étaient devenues caduques fin 2003, lorsque Paris et Berlin, alors en dérive budgétaire, avaient refusé de s'y soumettre. L'Allemagne souhaite que les pays laxistes puissent être privés de certaines subventions européennes et de leurs droits de vote. S'il n'est pas possible de réviser le pacte, l'Elysée note que le traité de Lisbonne permet aux membres de la zone euro de s'organiser entre eux.
Enfin, il convient de prêter attention à l'économie et pas seulement aux budgets. La lettre franco-allemande demande "l'élargissement de la surveillance aux questions structurelles et de compétitivité et aux déséquilibres".
La réforme de la gouvernance économique doit être approfondie par le président du conseil européen, Herman Van Rompuy, qui doit dévoiler la composition d'un groupe de travail sur le sujet.
Par le passé, le pacte de stabilité a montré ses limites. Pour l'Elysée, le problème grec est plus un problème de compétitivité, sur lequel les Européens ne se sont pas penchés, qu'un problème de déficit. Pendant des années, l'Irlande et l'Espagne ont été citées en modèle, parce leur dette publique était faible.
Nul n'a prêté attention à l'explosion de leur dette privée, alimentée par la spéculation immobilière. Aujourd'hui, la défaillance de l'ancien élève modèle espagnol déclencherait une catastrophe.
Arnaud Leparmentier
 
TRICHET - DEFAULT NON E' IN DISCUSSIONE PER GRECIA

TRICHET - WE ARE FIRMLY ON THE SIDE OF GREECE

TRICHET RISPONDE 'NO' A DOMANDA SU DISCUSSIONE SU ACQUISTI TITOLI DI STATO DA PARTE DI BCE (e la borsa precipitò)
 
Come prendere 2 piccioni con una fava
( BCE compra e stampa, Euro ;)scende notevolmente )

Fonte WSI
BUNDESBANK: IL GIOCO DI DIFESA ;)DELL'EURO NON VALE LA CANDELA

Il consigliere tedesco della BCE, Axel Weber,
ha dichiarato che "la minaccia di contagio dalla crisi Greca ad altri paesi d'Europa non giustifica l'uso di tutti gli strumenti".
Il rumor e' che la BCE potrebbe fare come ha fatto la Federal Reserve Usa nel 2008 all'apice della crisi finanziaria americana,
comprando cioe' :eek:centinaia di miliardi di bond governativi sui mercati.



;)1o avvertimento alla speculazione e alle Agenzie di rating,
ciò che prima appariva impossibile ora potrebbe essere realizzabile,
e i 2 piccioni con una fava si potrebbero acchiappare.

Poi....saranno problemi per il USD :


06 Maggio 2010 15:05 ECONOMIA
LISBONA - ''Non abbiamo discusso l'opzione'' di acquistare i titoli di Stato europei,
e ''non abbiamo mai discusso in alcun modo un'ipotesi di procedura di default di Stati di Eurolandia''. Lo ha detto il presidente della Bce Jean-CLaude Trichet.
 
L'ACQUISTO DIRETTO DI TITOLI DI STATO EUROPEI
DA PARTE DELLA BANCA CENTRALE EUROPEA
in futuro NON SI PUO' ESCLUDERE,
ha poi precisato Trichet. (RCD)
 
;)1o avvertimento alla speculazione e alle Agenzie di rating,
ciò che prima appariva impossibile ora potrebbe essere realizzabile,
e i 2 piccioni con una fava si potrebbero acchiappare.

Poi....saranno problemi per il USD :


06 Maggio 2010 15:05 ECONOMIA
LISBONA - ''Non abbiamo discusso l'opzione'' di acquistare i titoli di Stato europei,
e ''non abbiamo mai discusso in alcun modo un'ipotesi di procedura di default di Stati di Eurolandia''. Lo ha detto il presidente della Bce Jean-CLaude Trichet.
 
L'ACQUISTO DIRETTO DI TITOLI DI STATO EUROPEI
DA PARTE DELLA BANCA CENTRALE EUROPEA
in futuro NON SI PUO' ESCLUDERE,
ha poi precisato Trichet. (RCD)



...bel gioco. Ma poi che succederà ! Addio exit strategy perchè, per riuscire a riscaricare sul mercato questi Bond , ci sarà bisogno di tassi bassi per un lungo periodo indefinito.

La certezza di importazione inflattiva è matematica!
Dimenticavo l'opzione Jap : trappola di liquidità, invecchiamento popolazione, nascita di multinazionali sppecializzate nell'export e abituate a forti oscillazioni valutarie....che bello !
 
Sulle dichiarazioni di Trichet

TRICHET - DEFAULT NON E' IN DISCUSSIONE PER GRECIA

TRICHET - WE ARE FIRMLY ON THE SIDE OF GREECE

TRICHET RISPONDE 'NO' A DOMANDA SU DISCUSSIONE SU ACQUISTI TITOLI DI STATO DA PARTE DI BCE (e la borsa precipitò)


La Bce in stand by sull'acquisto di bond governativi

Il consiglio direttivo della Banca centrale europea «non ha discusso nulla» in merito a eventuali insolvenze sul debito pubblico di paesi dell'area euro, né tantomeno di eventuali «procedure di insolvenza». Lo ha chiarito il presidente della Bce, Jean-Claude Trichet durante la conferenza stampa a termine del Consiglio direttivo che ha deciso di mantenere i tassi d'interesse dell'eurozona stabili all'1 per cento. Non sarebbe stata oggetto di discussione neppure l'opzione acquisto di bond governativi. Nessuna decisione presa, insomma, almeno «fino a questo punto». I mercati hanno reagito con un leggero calo degli indici e un minimo rialzo del rendimento del Bund decennale.

L'area euro, ha detto il presidente della Bce, resta orientata a una moderata ripresa economica, che si profila però discontinua e sottoposta a «elevata incertezza». I tassi sono il principale strumento di contrasto all'inflazione, che secondo la Bce continuerà a segnare valori a sua volta «moderati» nei mesi a venire. Per questo, ai livelli attuali, minimo storico dalla nascita dell'euro, i tassi di interesse restano «appropriati», ha aggiunto Trichet.

Da mesi la parola «appropriati» riferita ai tassi di interesse viene vista dagli analisti come un segnale della Bce sull'orientamento a non modificarli nel breve termine. «Le pressioni inflazionistiche nel medio termine restano contenute, come suggerisce la debole crescita monetaria e del credito». Trichet si aspetta che la «stabilità dei prezzi sarà mantenuta a medio termine».

Tra i fattori di rischio che gravano sulla crescita economica «permangono timori sulle rinnovate tensioni di mercato in alcuni segmenti». Lo ha affermato il presidente della Bce, Jean-Claude Trichet durante la conferenza stampa a termine del Consiglio direttivo. In ogni caso il bilancio dei rischi, positivi e negativi, sulle prospettive dell'economia dell'area resta «bilanciato», ha aggiunto Trichet, sebbene in un contesto di «elevata incertezza».
 
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