Macroeconomia Fine dell'euro: scenari possibili o ipotetici (4 lettori)

Geller

Banned
elezioni inglesi ... hung parliament ... nessuna maggioranza assoluta

L'ultimo 'hung parliament' in Gran Bretagna risale al 1974. E non è stato un successo. Il premier conservatore Edward Heath era rimasto in carica quattro giorni - pur avendo conquistato con il suo partito meno seggi dei laburisti, rispettivamente 297 e 301 - per cercare di assicurarsi una maggioranza di governo. Heath gettò la spugna in tempi brevi, dopo il fallimento dei negoziati con i liberali, che allora avevano 14 seggi, per formare comunque un governo di minoranza. Prese il suo posto il leader labour, Harold Wilson, con un governo anche in questo caso di minoranza che durò solo sette mesi, prima di convocare elezioni anticipate che il suo partito perse.

mi pare il periodo migliore per avere governi ballerini, loro non sono abituati, noi modestamente abbiamo una cultura in materia impressionante

Ma se i Conservatori facessero un governo di coalizione con i liberaldemocratici la maggioranza assoluta ci sarebbe ... ?! :sad:

Miracoli della politica ? Sì, in quanto la politica è l'arte del possibile ! :lol:
 

IlPorcospino

Forumer storico
Le Monde

Les propositions d'Angela Merkel et de Nicolas Sarkozy pour sauver l'euro
Défendre la zone euro en danger, alors que la crise grecque menace de s'étendre au Portugal et à l'Espagne : Angela Merkel et Nicolas Sarkozy font front commun, à la veille du sommet de la zone euro du vendredi 7 mai.
Ils ont envoyé, jeudi, une lettre commune au président du Conseil européen, Herman Van Rompuy et au président de la Commission, José Manuel Barroso. Silencieuse sur les désaccords, notamment sur la possibilité de laisser un Etat de la zone faire faillite ou restructurer sa dette, l'initiative refonde un socle commun minimal et demande l'approfondissement des règles de gouvernance économique de la zone euro.
La lettre commence par exclure l'idée d'expulser un Etat membre de l'union monétaire, les deux dirigeants se disant "pleinement attachés" à préserver "l'unité de la zone euro".
Ensuite, elle précise que la monnaie unique est une affaire commune et qu'il n'est plus question de laisser chacun gérer ses petites affaires seul. "Tous les Etats membres sont responsables de la stabilité de la zone euro dans son ensemble."
Car, sur le fond, jamais la chancelière allemande et le président français n'ont été autant en désaccord : M. Sarkozy voulait intervenir vite et fort, décelant une attaque des spéculateurs. Mme Merkel, face à son opinion publique, voulait punir les Grecs, coupables de mensonges et de laxisme budgétaire, et respecter les traités.
"UN CADRE ROBUSTE"
Jamais les deux dirigeants n'ont fait autant d'efforts pour éviter les déchirements publics. Il faut trouver les moyens d'éviter que la crise grecque ne se reproduise.
M. Sarkozy et Mme Merkel veulent que le conseil des dirigeants de la zone euro qui se réunissent le 7 mai à Bruxelles conduise à un renforcement de la gouvernance économique de la zone. Ils proposent de créer "un cadre robuste pour la résolution des crises respectant le principe de responsabilité budgétaire de chaque Etat membre".
Traduit par l'Elysée, les Européens doivent trouver un moyen de contourner l'interdiction faite par les traités de renflouer un Etat en faillite. Pour sauver la Grèce, les Etats ont eu recours à des aides bilatérales. Les Allemands avaient besoin juridiquement de l'intervention du FMI, attestant de l'urgence extrême de la crise, pour justifier face à leur Cour constitutionnelle la nécessité d'intervenir. Il faudrait donc, comme l'avait proposé le ministre des finances allemand Wolfgang Schäuble, imaginer un "fonds monétaire européen".
Rien n'est dit en revanche sur la possibilité de laisser un Etat de la zone euro faire faillite ou restructurer pleinement sa dette. "Ce n'est pas l'objet de cette lettre", explique l'Elysée. Sur ce point, le désaccord franco-allemand est profond. M. Sarkozy refuse toute idée de défaut de paiement, qui provoquerait selon lui au niveau des Etats un cataclysme comparable à celui de la faillite de la banque d'affaire américaine Lehman Brothers. Ce serait aussi une énorme catastrophe pour les banques françaises, particulièrement exposées en Grèce et en Europe du sud.
RÉFORME DES TRAITÉS
Devant le Bundestag, mercredi, Mme Merkel a dit vouloir "élaborer une procédure codifiée de défaut de paiement".
La chancelière a aussi expliqué qu'elle s'engageait "avec force" pour une réforme des traités, même si elle est "longue et laborieuse". Les Français sont dubitatifs sur l'idée de réformer le traité de Lisbonne. Il faudrait revisiter toute l'union économique et monétaire, concoctée dans une période libérale, celle des années 1990, et la faire ratifier par 27 Etats membres.
Il serait plus simple de revoir le pacte de stabilité, qui régit le fonctionnement de l'euro. "Nous ne sommes pas hostiles à un changement du pacte de stabilité", explique l'Elysée. Rédigé en terme franco-allemand, le texte demande "des sanctions plus efficaces pour les procédures de déficits excessifs".
Les procédures de sanctions inscrites dans le pacte étaient devenues caduques fin 2003, lorsque Paris et Berlin, alors en dérive budgétaire, avaient refusé de s'y soumettre. L'Allemagne souhaite que les pays laxistes puissent être privés de certaines subventions européennes et de leurs droits de vote. S'il n'est pas possible de réviser le pacte, l'Elysée note que le traité de Lisbonne permet aux membres de la zone euro de s'organiser entre eux.
Enfin, il convient de prêter attention à l'économie et pas seulement aux budgets. La lettre franco-allemande demande "l'élargissement de la surveillance aux questions structurelles et de compétitivité et aux déséquilibres".
La réforme de la gouvernance économique doit être approfondie par le président du conseil européen, Herman Van Rompuy, qui doit dévoiler la composition d'un groupe de travail sur le sujet.
Par le passé, le pacte de stabilité a montré ses limites. Pour l'Elysée, le problème grec est plus un problème de compétitivité, sur lequel les Européens ne se sont pas penchés, qu'un problème de déficit. Pendant des années, l'Irlande et l'Espagne ont été citées en modèle, parce leur dette publique était faible.
Nul n'a prêté attention à l'explosion de leur dette privée, alimentée par la spéculation immobilière. Aujourd'hui, la défaillance de l'ancien élève modèle espagnol déclencherait une catastrophe.
Arnaud Leparmentier

Mi sembra un buon articolo dove si dimostra, a dispetto del titolo, che Francia e Germania la vedono in modo diverso.
 

Comandante Gerard

Forumer storico
Per quel che può valere, è l'editoriale di Repubblica, che contiene molte concetti qui già in qualche modo anticipati...

I giorni terribili dell'attacco all'euro - Repubblica.it

...A questo punto le domande che dobbiamo porci sono tre: perché la speculazione attacca l'Europa, le sue Borse, la sua moneta? Quali sono, tecnicamente e politicamente, i punti deboli dell'Unione europea? Quali sono le terapie necessarie per difenderci? Possiamo aggiungere anche una quarta domanda: chi sono gli speculatori? È mai possibile che abbiano tanti mezzi e tanto coraggio da partire in battaglia contro una struttura di dimensioni continentali che coincide con l'area più ricca del mondo?

Questa quarta domanda è preliminare alle altre e va dunque affrontata per prima. La speculazione non è formata da un gruppo di operatori che si consultano tra loro e mobilitano i loro capitali per influenzare i mercati e trarre profitto dalle loro oscillazioni. La speculazione è un sinonimo del mercato. La speculazione è il mercato. Il mercato consiste in un luogo organizzato dove si registrano - attraverso la domanda e l'offerta - le aspettative di un'immensa massa di risparmiatori. La speculazione dunque non è altro che l'aspettativa che si forma liberamente, sulla base di libere valutazioni delle forze in campo.

La crisi di due anni fa partì dalla bolla immobiliare americana e si propagò con la velocità del fulmine in tutto il mondo. Fu la prima vera prova della globalizzazione finanziaria. Si confrontarono le aspettative ribassiste e deflazionistiche con la risposta dei governi, a cominciare da quello americano. I governi riuscirono a gestire la crisi e a controllare le aspettative ma pagarono un prezzo altissimo: dovettero iniettare sul mercato migliaia di miliardi di liquidità accumulando debiti immensi. Sono stati chiamati "debiti sovrani" e "fondi sovrani" sono stati chiamati gli enti preposti alla loro gestione.

L'uscita dalla crisi prevede che i debiti sovrani siano riassorbiti gradualmente ma in un periodo relativamente breve di tre o quattro anni. Ogni sistema, ogni fondo sovrano effettuerà l'operazione di assestamento secondo i propri mezzi e le proprie scelte; l'inflazione sarà inevitabilmente una scelta comune, non facile da guidare e difficilissima da far accettare alle pubbliche opinioni. Ma ancora più difficile sarà l'assestamento basato sul taglio di spese, inasprimento di imposte, disagio sociale. Il caso greco ne è la più lampante dimostrazione anche perché è maturato su un terreno politicamente e socialmente friabilissimo.
Adesso è la volta dell'Unione europea, la crisi si è concentrata su quell'obiettivo. Come ha ricordato Tremonti, la parola crisi in greco significa discontinuità.

****

Perché la speculazione attacca la moneta europea, le sue Borse, le sue banche? La risposta è semplice: la speculazione attacca i fondi sovrani europei, cioè la struttura finanziaria dell'Unione attraverso gli Stati che la compongono e cerca di colpire la stessa Banca centrale europea, cioè il cuore dell'Unione, il solo ente veramente autonomo e veramente federale che gli Stati abbiano finora saputo esprimere.
La speculazione, cioè l'insieme delle forze che operano nei mercati internazionali, sa da tempo che la Bce è la sola Banca centrale esistente che non abbia alle sue spalle uno Stato sovrano. Questa situazione le conferisce il massimo di indipendenza, ma al tempo stesso il massimo di solitudine e di fragilità. La politica monetaria è interamente nelle mani della Bce e di conseguenza sono di sua esclusiva spettanza la quantità di moneta in circolazione, il tasso ufficiale di sconto, le operazioni di mercato aperto.

Ma gli Stati membri mantengono il completo dominio delle rispettive politiche di bilancio, delle rispettive politiche fiscali, della spesa pubblica sia nazionale sia locale, degli incentivi, delle pubbliche retribuzioni, dell'organizzazione del "welfare". I meccanismi di coordinamento sono blandi e nella maggioranza dei casi si risolvono in raccomandazioni. Il bilancio amministrato dalla Commissione di Bruxelles non ha alcuna vera flessibilità.

Insomma l'Europa è ancora lontanissima dall'essersi data una struttura federale e politiche comuni, anzi unificate, con massicci trasferimenti di sovranità dagli Stati nazionali allo Stato federale europeo nel campo della politica estera, di quella della difesa, dei diritti e dei doveri, delle elezioni parlamentati e del governo dell'Unione.
La speculazione conosce perfettamente questa situazione ed ha interesse a bloccare qualsiasi sviluppo dell'Unione verso un assetto federale. L'ideale per le forze di mercato è che esso sia regolato il meno possibile e che il potere economico, soprattutto nei suoi aspetti finanziari, sia il solo dominante nello spazio globale del pianeta.

Questa è dunque la posta, la quale tuttavia comporta anche una contro-indicazione: se gli Stati nazionali membri dell'Unione hanno chiaramente capito la pericolosità estrema dell'attacco, vorranno e sapranno elaborare una risposta che sia all'altezza della crisi? Vorranno affrontare il problema della sovranazionalità europea cedendo all'Unione la parte politica della loro sovranità? O si limiteranno a rendere più strette le maglie del coordinamento tra le loro politiche nazionali?

****

La crisi in corso contiene dunque un pregio, l'abbiamo già detto: ha reso attuale e non oltre procrastinabile il tema dello Stato federale europeo. Purtroppo non sembra che l'evidenza e l'urgenza di risolverlo siano in grado di indurre le classi dirigenti e le opinioni pubbliche nazionali a varcare finalmente la soglia di un vero federalismo. Mancherà certamente il contributo della Gran Bretagna, ancora irretita dal mito anglosassone e dalla relazione speciale tra Londra e Washington.
Quanto agli Stati europei del continente, non sembra che dispongano di una visione europea unitaria. Una classe dirigente europea e un'opinione pubblica europea capaci di sospingerli e costringerli non esistono. Ci sono singoli individui e ristretti ambiti sociali minoritari, niente di più.

Se debbo esprimere un'opinione personale, credo che l'attacco in corso contro l'attuale sistema europeo si attenuerà nei prossimi giorni e nei prossimi mesi, ma non sarà affatto sgominato. Verrà contenuto, questo è probabile, ma preparerà ulteriori ondate. Voglio dire insomma che la crisi non è alle nostre spalle ma è ancora davanti a noi con tutta la sua terribilità.
 

ricpast

Sono un tipo serio
perchè quando il dollaro stava a 1,60 con l'euro la ns moneta non era sotto attacco speculativo?!

:D

che razza di minkiate
;)

il problema è il debito
non la moneta
 

ironblade79

Nuovo forumer
Per quel che può valere, è l'editoriale di Repubblica, che contiene molte concetti qui già in qualche modo anticipati...

I giorni terribili dell'attacco all'euro - Repubblica.it

...A questo punto le domande che dobbiamo porci sono tre: perché la speculazione attacca l'Europa, le sue Borse, la sua moneta? Quali sono, tecnicamente e politicamente, i punti deboli dell'Unione europea? Quali sono le terapie necessarie per difenderci? Possiamo aggiungere anche una quarta domanda: chi sono gli speculatori? È mai possibile che abbiano tanti mezzi e tanto coraggio da partire in battaglia contro una struttura di dimensioni continentali che coincide con l'area più ricca del mondo?

Questa quarta domanda è preliminare alle altre e va dunque affrontata per prima. La speculazione non è formata da un gruppo di operatori che si consultano tra loro e mobilitano i loro capitali per influenzare i mercati e trarre profitto dalle loro oscillazioni. La speculazione è un sinonimo del mercato. La speculazione è il mercato. Il mercato consiste in un luogo organizzato dove si registrano - attraverso la domanda e l'offerta - le aspettative di un'immensa massa di risparmiatori. La speculazione dunque non è altro che l'aspettativa che si forma liberamente, sulla base di libere valutazioni delle forze in campo.

La crisi di due anni fa partì dalla bolla immobiliare americana e si propagò con la velocità del fulmine in tutto il mondo. Fu la prima vera prova della globalizzazione finanziaria. Si confrontarono le aspettative ribassiste e deflazionistiche con la risposta dei governi, a cominciare da quello americano. I governi riuscirono a gestire la crisi e a controllare le aspettative ma pagarono un prezzo altissimo: dovettero iniettare sul mercato migliaia di miliardi di liquidità accumulando debiti immensi. Sono stati chiamati "debiti sovrani" e "fondi sovrani" sono stati chiamati gli enti preposti alla loro gestione.

L'uscita dalla crisi prevede che i debiti sovrani siano riassorbiti gradualmente ma in un periodo relativamente breve di tre o quattro anni. Ogni sistema, ogni fondo sovrano effettuerà l'operazione di assestamento secondo i propri mezzi e le proprie scelte; l'inflazione sarà inevitabilmente una scelta comune, non facile da guidare e difficilissima da far accettare alle pubbliche opinioni. Ma ancora più difficile sarà l'assestamento basato sul taglio di spese, inasprimento di imposte, disagio sociale. Il caso greco ne è la più lampante dimostrazione anche perché è maturato su un terreno politicamente e socialmente friabilissimo.
Adesso è la volta dell'Unione europea, la crisi si è concentrata su quell'obiettivo. Come ha ricordato Tremonti, la parola crisi in greco significa discontinuità.

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Perché la speculazione attacca la moneta europea, le sue Borse, le sue banche? La risposta è semplice: la speculazione attacca i fondi sovrani europei, cioè la struttura finanziaria dell'Unione attraverso gli Stati che la compongono e cerca di colpire la stessa Banca centrale europea, cioè il cuore dell'Unione, il solo ente veramente autonomo e veramente federale che gli Stati abbiano finora saputo esprimere.
La speculazione, cioè l'insieme delle forze che operano nei mercati internazionali, sa da tempo che la Bce è la sola Banca centrale esistente che non abbia alle sue spalle uno Stato sovrano. Questa situazione le conferisce il massimo di indipendenza, ma al tempo stesso il massimo di solitudine e di fragilità. La politica monetaria è interamente nelle mani della Bce e di conseguenza sono di sua esclusiva spettanza la quantità di moneta in circolazione, il tasso ufficiale di sconto, le operazioni di mercato aperto.

Ma gli Stati membri mantengono il completo dominio delle rispettive politiche di bilancio, delle rispettive politiche fiscali, della spesa pubblica sia nazionale sia locale, degli incentivi, delle pubbliche retribuzioni, dell'organizzazione del "welfare". I meccanismi di coordinamento sono blandi e nella maggioranza dei casi si risolvono in raccomandazioni. Il bilancio amministrato dalla Commissione di Bruxelles non ha alcuna vera flessibilità.

Insomma l'Europa è ancora lontanissima dall'essersi data una struttura federale e politiche comuni, anzi unificate, con massicci trasferimenti di sovranità dagli Stati nazionali allo Stato federale europeo nel campo della politica estera, di quella della difesa, dei diritti e dei doveri, delle elezioni parlamentati e del governo dell'Unione.
La speculazione conosce perfettamente questa situazione ed ha interesse a bloccare qualsiasi sviluppo dell'Unione verso un assetto federale. L'ideale per le forze di mercato è che esso sia regolato il meno possibile e che il potere economico, soprattutto nei suoi aspetti finanziari, sia il solo dominante nello spazio globale del pianeta.

Questa è dunque la posta, la quale tuttavia comporta anche una contro-indicazione: se gli Stati nazionali membri dell'Unione hanno chiaramente capito la pericolosità estrema dell'attacco, vorranno e sapranno elaborare una risposta che sia all'altezza della crisi? Vorranno affrontare il problema della sovranazionalità europea cedendo all'Unione la parte politica della loro sovranità? O si limiteranno a rendere più strette le maglie del coordinamento tra le loro politiche nazionali?

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La crisi in corso contiene dunque un pregio, l'abbiamo già detto: ha reso attuale e non oltre procrastinabile il tema dello Stato federale europeo. Purtroppo non sembra che l'evidenza e l'urgenza di risolverlo siano in grado di indurre le classi dirigenti e le opinioni pubbliche nazionali a varcare finalmente la soglia di un vero federalismo. Mancherà certamente il contributo della Gran Bretagna, ancora irretita dal mito anglosassone e dalla relazione speciale tra Londra e Washington.
Quanto agli Stati europei del continente, non sembra che dispongano di una visione europea unitaria. Una classe dirigente europea e un'opinione pubblica europea capaci di sospingerli e costringerli non esistono. Ci sono singoli individui e ristretti ambiti sociali minoritari, niente di più.

Se debbo esprimere un'opinione personale, credo che l'attacco in corso contro l'attuale sistema europeo si attenuerà nei prossimi giorni e nei prossimi mesi, ma non sarà affatto sgominato. Verrà contenuto, questo è probabile, ma preparerà ulteriori ondate. Voglio dire insomma che la crisi non è alle nostre spalle ma è ancora davanti a noi con tutta la sua terribilità.

L'Europa è solo una unione monetaria e come le precedenti DEVE fallire.

Cosa ha a che fare la cultura tedesca con quella francese italiana o greca?
L'Europa è sempre stata divisa.
Non potra mai essere USE (United States of Europe)... Troppe economie diverse, basate alcune su una moneta forte, altre su moneta debole...
Bò.
Io invidio gli Svizzeri.

ironblade79
 

ilfolignate

Forumer storico
L'Europa è solo una unione monetaria e come le precedenti DEVE fallire.

Cosa ha a che fare la cultura tedesca con quella francese italiana o greca?
L'Europa è sempre stata divisa.
Non potra mai essere USE (United States of Europe)... Troppe economie diverse, basate alcune su una moneta forte, altre su moneta debole...
Bò.
Io invidio gli Svizzeri.

ironblade79

A chi lo dici ;)
 

Comandante Gerard

Forumer storico
Il debito italiano in scadenza quest'anno

Da maggio a fine anno restano da rimborsare e rinnovare ancora circa 208 miliardi di euro e guarda caso il 2010 è l'anno peggiore e giugno è il mese peggiore...

1273448903chart5.jpg
 

Allegati

  • Titoli_di_stato_in_circolazione_30-04-2010_GPO.pdf
    119,7 KB · Visite: 253

stockuccio

Guest
perchè quando il dollaro stava a 1,60 con l'euro la ns moneta non era sotto attacco speculativo?!

:D

che razza di minkiate
;)

il problema è il debito
non la moneta

il problema è il debito ... :D ...
che gli USA detengano il 79,9% delle GSE e di AIG per evitare di consolidarli in bilancio come dovrebbe se fosse in possesso dell'80% e dopo che il 24 dicembre scorso il Tesoro ha di fatto aperto a favore delle GSE una linea di credito senza limiti per tre anni mi induce a considerare quelle società consolidate :)

paragoniamo Grecia e USA
debito/pil grecia intorno al 120%, USA consolidando le predette quasi il 140%
deficit greco molto elevato ma in forte contrazione, con le misure adottate dal governo passerà da circa il 14% al 3% nel 2014, gli USA sono ufficialmente oltre il 12% ma non hanno piani di rientro
i valori assoluti dei debiti greci e statunitensi non sono minimamente paragonabili, il debito privato greco è inferiore a quello statunitense
inoltre la Grecia ha una economia sommersa che ha un valore oltre 1/4 del loro pil, quindi margini di recupero migliori rispetto agli USA
tralascio banche, immobili, ecc. ecc.
i rating delle due però non sono simili :)


http://mhodges701.home.comcast.net/~mhodges701/
http://www.usdebtclock.org/
 

ironblade79

Nuovo forumer
Eccoci qua che tutto è finito a tarallucci e vino.
Rimango dell'idea che l'Europa è troppo diversa però mi devo arrendere ai mercati.

Oggettivamente non ho parole.

Quindi allo stato attuale perchè detenere il BUND e non il 10 anni della Grecia?

:wall:
 

stockuccio

Guest
non credo il marasma sia finito, è solo un'altra imbarazzante e incredibile puntata
 

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